Les dents sont vivantes

Croquez la Vie à pleines dents!


Auriez-vous une dent contre quelqu'un ou quelque chose? Si oui, il serait peut-être important pour vous de le découvrir...

Cela pourrait vous éviter de devoir tomber sur un os et vous y casser les dents...

Découvrez le sens ar-dent de la vie!

Les dents sont vivantes
, du moins avant d'être dévitalisées par les dentistes...

Et, en plus, elles "parlent"... Pour comprendre leur langage, il convient, toutefois, de le décoder...

Ceci est précisément l'objet du Décodage Dentaire.

Voici comment l'un de ses promoteurs, Christian Beyer, a découvert que les dents pouvaient parler:

"C'est par une manifestation étrange de la carie que l'histoire a commencé. Dès ma troisième année d'étude, les patients qui me furent confiés étaient porteurs d'une carie étrange: elle était symétrique! Si une première molaire supérieure droite était atteinte en un point précis de sa face occlusale, la première molaire supérieure gauche se trouvait elle aussi touchée au même endroit de la même face. Il n'y avait qu'une différence de taille, donc de date d'apparition. Ainsi ai-je commencé à parler de caries mères et de caries filles

Bien entendu, la dynamique carieuse d'origine bactérienne se trouvait là devant de l'inexplicable. En effet, rien ne permet d'expliquer que les "microbes" sautent d'une dent à une autre sans passer par la voisine d'abord. La contagion semblait sélective!

A la recherche d'une explication, j'ai suivi le chemin des médecines dites parallèles, voire de pratiques "hérétiques" aux yeux de la faculté. Je n'ai cependant jamais perdu de vue la santé dentaire qui restait l'ultime but et le seul moteur de cette aventure. Ainsi, le Décodage Dentaire est-il d'abord et avant tout fidèle à cette motivation: soigner la dent, non dans sa forme, mais dans ce qui s'y projette, ou encore dans ce à quoi elle semble intimement reliée. Car pour ce qui est de la forme, à partir de l'instant où une perte de substance intervient, rien ne remplacera jamais l'homme de l'Art.

De même, le Décodage Dentaire ne s'oppose pas aux données de la science, mais les exploite en profondeur, synthétisant des domaines aussi variés que la médecine, la dentisterie, l'anthropologie, l'éthologie, les neurosciences, l'acupuncture, etc. Cette synthèse d'informations ayant pour conséquence de replacer la dent au sein de l'entité vivante nommée Être humain, et non de la maintenir dans une zone quasi ex-corporée et porteuse d'un sens souvent invalidant.

Car si le Décodage Dentaire permet d'aider celui ou celle dont les dents manifestent une quelconque pathologie, il le fait en lui rendant la pleine responsabilité d'un niveau promptement délaissé: les émotions souffrances. Si le dentiste peut s'occuper (et il le fait) de nos dents sans notre aide (sinon celle de venir les lui apporter!), le Décodage Dentaire mène le patient à l'implication personnelle dans sa santé bucco-dentaire. Non en mettant en haut de l'affiche l'hygiène buccale ou alimentaire, mais celle de son cœur! (...)

Le Décodage Dentaire ouvre un triangle dynamique, en prenant place à un des sommets, que dentiste et patient complètent à merveille aux deux autres. (...)"

Evidemment, ceux qui connaissent déjà le Décodage Biologique ne manqueront pas de faire le rapprochement... Car le Décodage Dentaire est, en fait, une branche plus spécialisée du Décodage Biologique.

Voici ce qu'en dit Christian Beyer:

Le Décodage Dentaire et le Décodage Biologique.

"Le Décodage Biologique m'a apporté la mise en mots de la vision que je pressentais avec insistance, après avoir été moi-même malmené par la maladie. Il m'était finalement apparu comme évident que nos manifestations corporelles, donc biologiques, étaient l'ultime moyen pour l'être humain de solutionner une souffrance relationnelle. Et que, bien avant d'hériter d'un gène codant pour une pathologie médicale, organique, nous étions porteurs de mémoires comportementales, autrement dit de pathologies relationnelles humaines. (...)

Le Décodage Biologique n'est rien d'autre que le résultat d'une démarche scientifique basée sur l'expérience. Sa validité est basée sur la seule architecture du système nerveux central, et à moins d'en être dépourvu, il est impossible (ou foncièrement hypocrite) de ne pas reconnaître que le décodage biologique en exploite simplement mais efficacement les lois de fonctionnement, les évidentes connexions et la nature même de sa dynamique. (...)

Ainsi donc, le Décodage Dentaire est-il une mise en place des lois révélées par le Décodage Biologique au sein de la cavité buccale, et ce pour chaque organe de cette cavité.



Une dent étant appelée "organe dentaire", il est donc évident que chaque dent réagira à des informations très précises et non à n'importe lesquelles. Ainsi, la notion de "stress émotionnel", avancé comme étant à l'origine de nombreux troubles biologiques et/ou organiques, est ici mise en pleine lumière. L'avancée la plus remarquable étant l'ouverture de cette encyclopédie dont nous ne connaissions jusqu'ici que le titre. En effet, stress émotionnel se révèle comme le titre d'un ouvrage dont le nombre de pages semble infini. Il fallait bien qu'un jour l'on en commence la lecture…

Notre corps manifeste la vie au travers de sa capacité réactionnelle. La venue au monde, la mise en place au sein de la Création, nous met sous l'action permanente de cet extérieur. Et l'on reconnaît le vivant par sa faculté spécifique à réagir. Une action de l'extérieur entraîne une réaction de la cellule vivante.

Ainsi, l'augmentation de la température entraîne-t-elle la sudation, l'élévation en altitude l'augmentation du nombre des hématies, etc. La réaction de l'entité biologique, appelée cellule, ou de l'ensemble au sein duquel elles sont regroupées, nommé organe, n'attend pas notre intervention consciente. La cellule porte en elle, au sein de sa structure, un ensemble de modes réactionnels, appelés programmes, qui sont utilisés en fonction des informations lui arrivant de l'extérieur. Le biotope trouve ici sa pleine implication, et le milieu environnant sa toute puissance sur notre conditionnement existentiel.

Le fonctionnement d'un organe assure toujours le maintien de l'équilibre de santé, c'est là son rôle fondamental. La cellule biologique réagira toujours pour assurer sa survie la seconde d'après, c'est là sa mission. Et pour ce faire, elle dispose en elle de programmes à même de lui permettre de modifier sa physiologie de base, comme un conducteur de voiture peut modifier le régime du moteur de sa voiture en appuyant sur l'accélérateur ou en changeant de vitesses… Pourtant, toute modification de ce mode de conduite répond avant tout à des
réactions nécessaires vis-à-vis de l'extérieur et de ce qui s'y passe…

Notre système biologique est avant tout géré par le Tronc Cérébral et par le système neurovégétatif. Cette gestion ne dépend pas de notre décision ni de notre attention. Il y a là le registre des instincts de survie. Le développement du monde vivant a depuis toujours été mu par la formidable pulsion de vie, et donc de survie. Des systèmes de plus en plus complexes sont apparus pour affiner leurs modes réactionnels et les diversifier. Le cervelet est ainsi en charge, au moyen de toutes ses structures, de percevoir l'extérieur au travers de vibrations pré-manifestées. C'est un langage silencieux d'un point de vue sonore, mais efficace pour le système réactionnel.

Les animaux sont ainsi capables de percevoir des émanations subtiles informatives afin de provoquer des réactions salvatrices avant qu'il ne soit trop tard. C'est pour ainsi dire, la mise en relation de l'intention… L'être humain a, quant à lui, reçu un système supplémentaire, hypertrophié, solution parfaite de survie: le cortex. Extraordinaire système radar tourné vers l'extérieur, il filtre en permanence les informations qui en émanent afin de provoquer la réaction ad hoc, celle qui nous fera survivre.

Mais une propriété émergente y a pris corps: le langage verbal, permettant un nouveau mode relationnel intra-espèce et à l'origine de nouvelles problématiques à résoudre: la relation humaine. Le cortex n'est pas, à l'origine, en charge des fonctionnements de l'organisme humain, puisque le corps existe et réagit avant que ne soit fonctionnel ce système cortical. Pourtant, de par sa structure et ses liens avec le système nerveux central, notamment via le thalamus et l'hypothalamus, il peut y avoir un effet dit feed-back.

Ainsi, une pensée va-t-elle générer un état émotionnel que le corps va recevoir comme information venant de l'extérieur. Il s'agit d'une pensée, donc de virtuel, d'imaginaire, mais les effets provoqués font que la biologie y réagit comme si c'était vrai. Voilà l'importance de la santé de nos pensées, et celle de la santé de nos émotions. Purifier son esprit n'est pas au bout d'une alimentation biologique… Mais d'une pensée en harmonie avec la Vie!

Pour continuer à découvrir le Décodage Dentaire (...), vous n'avez nullement besoin d'être dentiste ou "savant" pour vous laisser porter ou simplement toucher par son essence vivante… Il ne s'agit pas d'un dogme, ni seulement d'une science, mais d'un chemin à travers le vivant, une rencontre de l'Etre humain…"

Source: http://www.dentsvivantes.net/infos.presentation.htm



"Où se place alors la dentisterie et la carie dans ce schéma? La carie n'est pas une maladie d'élimination, mais un processus destructif. Une maladie de la gencive est, quant à elle, parfois, lorsqu'elle n'entraîne pas la destruction du tissu osseux de soutien, une maladie dite d'élimination. La gencive est en effet le premier tissu de l'appareil digestif et participe, de ce fait, à des processus de nettoyage des toxines internes.

L'aspect destructif de la carie, alors même qu'elle intéresse l'organe le plus dur de l'organisme humain, témoigne à la fois de l'énergie déployée, de la force développée par quelque chose en nous qui nous appartient, et explique le fait qu'au-delà de vingt-cinq ans, il est rare de voir apparaître des caries sur des dents saines, dont les voisines elles-mêmes ne sont pas porteuses de réparations ou de reconstructions.

Cela témoigne, dans la direction de ce que j'explique, que l'organisme déjà affaibli, va extérioriser nos souffrance au travers d'organes plus mous, ou au travers d'un déséquilibre fonctionnel apparemment plus aisément accessible, tout en laissant la possibilité d'un retour à la normale.

Qu'en est-il alors du sucre et des bactéries? En toute certitude, ils ne sont tout deux qu'agent favorisant et agent exécutant. Les rendre responsables de notre misère et de notre douleur ne s'inscrit que dans ce terrible schéma de l'irresponsabilité individuelle et dans celui de la recherche d'un responsable extérieur à notre souffrance. Une fois encore, rien d'inutile ou de futile n'a survécu à l'évolution de la nature. Les microbes eux-mêmes, quand bien même on les a rendus responsables de morts et de maux horribles, quand bien même s'ils n'avaient pas existé, ces maux n'auraient peut-être pas existé non plus, ces microbes ne sauraient être mis à part dans une case portant la mention "aberrations de la nature".

Abordés sous le projecteur de l'équilibre des forces, nous ne pourrons très longtemps éviter de nous rendre compte, honnêtement, que les forces de destruction qu'ils incarnent ressemblent beaucoup à tout ce que l'homme a développé à l'aide de sa toute puissante technologie et science. Ainsi, tout au long de notre vie, nous avons ce choix humain, témoin de l'ampleur de notre liberté, mais aussi de notre responsabilité, de consacrer notre existence aux forces de bénédictions et non plus de destructions. Saurions-nous un jour reconnaître avec humilité et regret qu'ils ne sont que la matérialisation de notre propre absurdité à détruire les équilibres naturels et celui de notre santé en particulier, rendant leur survenue aussi inévitable que nécessaire?

L'ouverture des portes à leur entrée sur scène dans le théâtre de notre maladie relève de notre action déstabilisante et débilitante sur notre propre système de défense, dont nous avons voulu assurer la toute puissance à grand renfort d'antibiotiques et de vaccins. Nous avons beau assister depuis des années à la mutation de certaines souches jusqu'alors sensibles, en souches résistantes, rien ne semble avoir suffisamment d'impact sur nos facultés intuitives pour remettre en question notre stratégie de santé.

Une vie saine ne peut se concevoir dans l'insouciance ou la déraison. Nous avons la responsabilité de notre enveloppe corporelle, nous avons le devoir, par respect, de lui rendre grâce de nous permettre d'être sur Terre. Bien entendu, je sais qu'il ne peut y avoir une telle perception de la vie sans une remise en cause des principes philosophiques qui sous-tendent notre société et notre culture. Bien entendu, aussi, il n'est absolument pas question de laisser des êtres humains mourir en les sacrifiant à un quelconque principe. La vie demande à être chérie, sauvée, mais avec un sens plus noble et plus humain qu'elle tente, maladie après maladie, douleurs après souffrance, de nous rappeler. Car après tout, ce qu'elle est réellement est en nous."


Pour partir en quête du langage de vos propres dents et vivre la vie avec plus de "mors-dent", partez plus avant à une plus ample découverte du site: http://www.dentsvivantes.net/.

Voir aussi: