La vaccination est-elle sécuritaire
et efficace?



A
u début des années 1990, Serge Monast, aujourd'hui déclaré comme décédé (ou disparu), avait transmis un article portant sur la vaccination et qui devait être publié ultérieurement en français.

L'on peut considérer ce dossier comme une information majeure au sujet de la vaccination, méritant d'être partagée avec le plus de gens possible.

Il est aussi à espérer que cette information arrivera à la connaissance de nombreux professionnels de la santé, parce qu'il est certain que beaucoup d'entre eux ne sont pas du tout au courant de cette information.


Ce dossier peut donc être relayé, de toutes les manières, à autant de personnes que possible.

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Les vaccinations
À quel point est-ce ou non "sécuritaire" et "efficace"?

Ce sont des faits concernant les vaccins que les professionnels de la santé et les compagnies pharmaceutiques ne vous diront pas.

"Un vaccin est autorisé à être utilisé seulement après avoir été trouvé sécuritaire et efficace" (Principles and Practise of Infectious Diseases, Mandelli, Douglas and Bennett)


Le vaccin contre la coqueluche

Le vaccin contre la coqueluche est combiné aux vaccins contre la diphtérie et le tétanos est connu comme le "DPT", un triple vaccin antigène. Le professeur Gordon Stewart, dans un article sur la coqueluche ("Here's Health", March 1980), fait des observations sur l'histoire du vaccin en Grande-Bretagne.


"Introduit en 1957, ce vaccin avait déjà été administré à 70 % des nouveau-nés à partir de 1960 et à plus de 70 % de tous les enfants à partir de 1969.

"Le programme national fut dirigé de 1957 à 1968 par le Public Health Laboratory Service (Le service de laboratoire en santé publique). En 1969, ils rapportèrent que les vaccins n'étaient "pas très efficaces" puisqu'ils avaient pas réussi à contrôler les cas de premières manifestations ou de protéger les enfants totalement vaccinés contre l'infection. Durant ce temps, la proportion d'enfants vaccinés s'éleva à 80 % ou plus, et c'est pour une question de dossier que la coqueluche continua de décliner en fréquence et en sévérité. Mais également, il est fermement enregistré que non seulement la coqueluche survint chez des enfants totalement vaccinés, mais également que de sévères réactions adverses aux vaccins causaient des problèmes et de l'inquiétude.

"Si la référence est faite aux événements au moment des premiers essais du vaccin contre la coqueluche lorsque donné seul (non pas comme une partie du triple vaccin) aux États-Unis et au Royaume-Uni, il devient clair que l'inclusion du vaccin de la coqueluche rend le vaccin triple susceptible d'être beaucoup plus vraisemblablement suivi de réactions adverses impliquant le cœur et le système nerveux. De telles réactions incluent le choc, la perte de connaissance, les convulsions et les crises de hurlement qui avaient tous étés notés chez certains enfants qui avaient reçu seulement le vaccin contre la coqueluche lors des premiers essais. De tels signaux étaient extrêmement rares ou tout à fait absents lors de la première utilisation des deux autres composantes du vaccin triple.

"Plus de lumière fut jetée sur ce problème lorsque le professeur W. Ehrengut à Hambourg et le docteur John Wilson avec des collègues à l'Hôpital pour enfants malades (Hospital for Sick Children) de la rue Great Ormond à Londres, rapporta, de façon indépendante, que des signes de dommages cérébraux sévères commençaient à apparaître chez certains enfants, peu après des réactions adverses au triple vaccin.

À peu près au même moment, un nombre de rapports apparurent dans la presse à différents endroits du Royaume-Uni à propos d'enfants qui étaient bien auparavant, mais qui étaient devenus retardés mentalement ou paralysés peu de temps après avoir reçu le triple vaccin. Le gouvernement, sur l'avis de ses comités consultatifs, réagit à ces rapports en réaffirmant l'efficacité et la sécurité du vaccin contre la coqueluche et en insistant sur le fait que ce composé devait être retenu dans le triple vaccin. Ils insistèrent également pour qu'un niveau élevé de vaccination parmi les enfants de tous âges soit maintenu si des épidémies devaient être écartées.

"À ce moment en 1974, les niveaux de vaccination étaient généralement d'environ 30 %, rarement en dessous de 70 %, et souvent plus élevés que 90 %. Le dernier cas de manifestation de coqueluche avait été en 1970-71, et comme les épidémies sont couramment susceptibles d'arriver tous les trois ou quatre ans, une autre épidémie était attendue et arriva, en effet, en 1974-75. Ceci fournit une occasion de revoir l'efficacité du vaccin de la coqueluche. Il est bientôt devenu évident que la protection était encore incomplète et, au mieux, temporaire, puisque dans tous les rapports publiés à ce moment, une proportion considérable (30 % à 50 %) des cas arrivèrent chez des enfants complètement vaccinés.

"Entre temps, des rapports sur les dommages cérébraux continuaient à circuler, amenant des débats entre les experts et au parlement sur la sécurité du vaccin. Le principal comité consultatif (The Joint Committee on Immunisation and Vaccination) demeura fermement rattaché à son point de vue (exprimé en premier lieu en 1964) que le vaccin était aussi sécuritaire qu'efficace et que le dommage cérébral, s'il arrivait vraiment, était excessivement rare, n'affectant pas plus de 1 sur 300.000 nouveau-nés vaccinés. Cependant, ils ont insisté sur le besoin d'une mise en garde et ont recommandé que le vaccin soit retiré auprès des enfants qui montraient des signes de désordre dans le système nerveux ou qui avaient un antécédent familial semblable, ou qui avaient mal réagi à une première ou deuxième injection. À partir de ce moment, il y avait un doute considérable dans plusieurs départements auxquels le gouvernement répliqua en mettant en place, par le biais du Comité sur la sécurité des médicaments (Committee on the Safety of Medecines), une commission spéciale d'experts pour revoir la présumée toxicité du vaccin. Ils ont également introduit, en 1978, un plan pour le dédommagement des parents dont les enfants avaient été atteints par le vaccin.

"Entre 1974 et 1978, l'acceptation du vaccin de la coqueluche avait diminué. Les services d'hygiène (Health Authority) offraient un double vaccin (la diphtérie et le tétanos) au lieu du triple vaccin et ceci, ainsi que le vaccin de la poliomyélite, se montrait être lui-même acceptable et indiscutablement sécuritaire. Mais les conseillers du gouvernement prédisaient une épidémie désastreuse de la coqueluche dans la population non-protégée.

Sur le cycle de trois à quatre ans, la prochaine épidémie devait commencer en 1977, et il doit être reconnu que les notifications de la coqueluche, qui commencèrent à augmenter, continuèrent alors durant les années 1978 et 1979, et s'élevèrent au niveau de ce qui paraissait être la plus grande épidémie depuis 1967. Cependant, le taux de mortalité était à son taux le plus bas, et il n'y avait aucun doute que la tendance générale des épidémies précédentes était suivie, puisqu'une grande proportion des cas était observée parmi les enfants totalement vaccinés. Pour la première fois, il y avait une différence prononcée dans les rapports des différentes parties du pays. Des observateurs ont rapporté une baisse d'incidence et même de zéro chez les enfants vaccinés, alors que les autres trouvèrent une petite différence entre les vaccinés et les non-vaccinés.

"Sur le plan international, la situation était également confuse. Dans certains pays tels que le Canada et les USA, le vaccin contre la coqueluche était intensivement utilisé, et l'on affirmait que la coqueluche était une maladie en voie de disparition. Néanmoins, dans ces deux pays, des manifestations initiales {de la maladie} avaient été rapportées, à partir de 1974, pour lesquelles, ainsi qu'au Royaume-Uni, 30 à 50 % des cas {découverts} correspondaient {pourtant} à des personnes totalement vaccinées.

En Allemagne de l'Ouest, en grande partie, comme résultat du travail du professeur Ehrengut sur la toxicité, le vaccin de la coqueluche avait été soupçonné pendant des années et avait été abandonné à Hambourg, sans aucune augmentation d'incidence ou de mortalité reliée à la coqueluche. Des diminutions similaires, sans vaste utilisation du vaccin, s'étaient produites en Égypte et en Italie.

Il n'y a aucun doute dans mon esprit sur le fait que rien qu'au Royaume-Uni des centaines, sinon des milliers d'enfants bien portants ont inutilement souffert de lésions cérébrales irréparables et que leurs vies et celles de leurs parents ont été, par conséquent, dévastées.

"Il y a également, et je le sais pertinemment, un nombre de morts après vaccination au Royaume-Uni et aux États-Unis qui attendent des explications. Je ne vois aucune utilité ou justification pour cette sorte de politique médicale, et je pense que l'utilisation du vaccin contre la coqueluche devrait être interrompue jusqu'à ce que, au moyen de meilleures recherches ou d'un meilleur vaccin, ces doutes soient résolus".

Le tableau suivant qui paraît dans "Infectious Diseases" (Who), démontre clairement l'inefficacité du vaccin de la coqueluche.

Source: Community Disease Surveillance Centre. (Centre communautaire du contrôle de la maladie).

La coqueluche en Angleterre et au pays de Galles de 1970 à 1982
  Année Cas rapportés
 Pourcentage vaccinés
Angleterre - Pays de Galles
 1970 16.597 79
 1971 16,846 79
 1972 2,069 79
 1973 2,441 79
 1974 16,23072
 1975 8,91060                             44
 1976 4,27839                             23
 1977 18,71741                              24
1978
67,008
31                              16
 1979  33,19723
 1980 21,261 
 1981 21,261 
 1982 (9 mois)47,508 50
 
D'après le Morbidity and Mortality Weekly Report (MMWR, 5/7/1985), une première manifestation de coqueluche arriva à Washington, USA, entre le 1er janvier et le 1er octobre 1984, impliquant 162 cas. Soixante-neuf de ces cas arrivèrent chez des enfants entre l'âge de 3 mois et 6 ans.

Le rapport déclare: "Des 69 patients âgés de 3 mois à 83 mois (6 ans) ayant un statut d'immunisation connu, 34 (49 %) étaient convenablement immunisés pour leur âge avec le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche."

Le 2 septembre 1978, l'émission NBC News en Floride, USA, fit l'annonce suivante: "Le centre pour le contrôle de la maladie d'Atlanta (The Atlanta Centre for Disease Control) a demandé aux médecins d'arrêter l'utilisation des vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche parce qu'un nombre d'enfants ont eu de mauvaises réactions."

De telles "mauvaises réactions" peuvent inclure le syndrome de la mort subite du nourrisson, (Sudden Infant Death Syndrome), communément connu comme la MSN. D'après le docteur Alan Hinman, directeur du Centre pour le contrôle des maladies d'Atlanta (Center for Disease Control):

"Depuis que le CDC institua son système de surveillance continue en 1978, nous avons reçu les rapports de 44 décès étant arrivées en moins de 4 semaines suivant l'immunisation au DPT, trente-deux des mors morts étaient des MSN" (Leon Chaitow - "Vaccination and Immunisation") indique une étude entreprise en 1979, à l'Université de la Californie, Los Angeles (UCLA), sous le parrainage de la Food and Drug Administration (FDA), et qui a été confirmée par d'autres études, qui indique qu'aux États-Unis, approximativement 1.000 nouveau-nés meurent annuellement comme conséquence directe de la vaccination DPT, et celles-ci sont classifiées comme des décès de la MSN (Syndrome de la mort subite du nourrisson).

Le docteur William Torch de l'Université du Nevada, Reno, USA, a entrepris des études sur des cas de MSN. Dans une étude, Dr Torch trouva que deux tiers des enfants qui étaient morts du MSN avaient été immunisés avec le vaccin DPT au courant des trois semaines précédant leurs décès. Plusieurs sont morts moins d'un jour après la vaccination. En 1982, Dr Torch, un neurologiste notoire en pédiatrie déclara que le vaccin DPT "peut être une cause généralement non reconnue du MSN".

De son livre, "I Had No Say", Sœur Joyce Lubke écrit:

"Lorsque les immunisations étaient données à partir de l'âge de trois mois, la période de pointe de mort subite du nourrisson était de 3 à 4 mois. L'on nous dit maintenant que la pointe est de 2 à 3 mois, et ceci arrive depuis que les immunisations commencèrent à l'âge de deux mois. Je sens qu'il y a un lien entre les morts subites des nourrissons et l'immunisation".

Dans le Health Report (vol. 6, no. 12, décembre 1986) Dr, H. Buttram et Dr J. Hoffman parlent d'une étude conduite par le Département de pédiatrie de l'École de médecine de l'Université de la Californie, sur 145 victimes de la MSN. De ce nombre, 53 avaient reçu l'immunisation du DPT peu de temps avant leurs morts. De ces 53, 27 moururent moins d'un mois après avoir été vaccinés, 17 en moins d'une semaine et 6 en moins de 24 heures.

De son livre, "How to Raise a Healthy Child in Spite of Your Doctor" ("Comment élever un enfant en santé malgré votre médecin"), le docteur. Robert Mendelsohn écrit:

"Mon soupçon, qui est partagé par d'autres dans ma profession, est que les quelques 10.000 décès de la MSN qui se produisent aux États-Unis chaque année sont liés à un ou plus des vaccins qui sont donnés systématiquement aux enfants. Le vaccin de la coqueluche est vraisemblablement le plus criminel, mais il pourrait également en être un ou plus parmi d'autres".

Le docteur Archie Kalokerinos a également observé le lien entre la MSN et l'immunisation, notant qu'un nombre d'enfants autochtones apparemment en santé, après s'être faits vacciner, entraient en état de choc et mouraient. Lors d'un discours qu'il prononça à une convention sur le santé naturelle à Stanwell Tops, NSW (le 24 mai 1987), il avait ceci à dire à propos du vaccin de la coqueluche:

"Le pire vaccin de tous est le vaccin contre la coqueluche. Il est responsable d'un grand nombre de décès et d'un grand nombre d'enfants souffrant de lésion cérébrale irréversible. Chez les enfants prédisposés à la maladie, cela bouscule leurs systèmes immunitaires, les soumettant à une lésion cérébrale irréparable ou à de sévères attaques ou même des morts à partir de maladies telles que la pneumonie ou la gastro-entérite et ainsi de suite".

Dans leur livre bien documenté "A Shot in the Dark", les co-auteurs H??? (illisible) et B. Fisher énumèrent les effets secondaires potentiels et les réactions au vaccin DPT. Ils incluent les réactions cutanées, la fièvre, le vomissement et la diarrhée, les hurlements et les pleurs persistants, les convulsions, les spasmes infantiles, les inflammations du cerveau, les désordres sanguins, les diabètes, l'hypoglycémie et les MSN.

Aux États-Unis, en 1984, Edward Brandt Jr, assistant secrétaire à la Santé (assistant secretary for Health), déclara, lors d'un témoignage à un congrès qu'à chaque année, le vaccin DPT sera associé à une estimation de:

· 150 cas d'inflammation ou de lésions au cerveau, 50 avec dommage permanent;

· 9.000 cas de convulsion;

· 9.000 cas de perte de connaissance - état semblable à un choc dans lequel un enfant devient abattu, pâle et inerte;

· 17.000 cas de hurlements inhabituels et très aigus;

· 25.000 cas de fièvre d'au moins 105°;

· 450.000 cas de pleur inconsolable pendant d'une à plus de 20 heures.

En 1985, aux États-Unis, une équipe de recherche de la chaîne de télévision ABC, connue sous le nomde "20-20", découvrit des quantités massives d'évidences documentées révélant les effets désastreux du vaccin DPT. "20-20" déclara que beaucoup de cette information avait été cachée par les compagnies pharmaceutiques et que beaucoup était connu du gouvernement et des autorités médicales, qui avaient négligé d'entreprendre {contre cela} quelque action que ce soit.

"20/20" décompta un surplus de 2.500 cas de réactions sérieuses, incluant les lésions cérébrales, et plus de 60 décès, tous reliés au vaccin de la coqueluche. L'évidence des dangers de ce vaccin allait aussi loin que 1948. " 20/20" trouva que les fonctionnaires du gouvernement, les médecins et les manufacturiers du vaccin avaient tenu des réunions de haut niveau sur les dangers de ce vaccin, sans jamais fournir un avertissement approprié au public!

Note: Aux États-Unis, le coût d'une seule injection de DPT avait augmenté de 1000 %, passant de 0,11 $ en 1982 à 11,40 $ en 1987. Les manufacturiers de ce vaccin mettaient de côté 8 $ par vaccin pour couvrir les coûts légaux et les dommages-intérêts qu'ils payaient aux parents des enfants au cerveau endommagé et aux enfants qui étaient morts après immunisation.

Le vaccin de la polio


"Le vaccin est sécuritaire et vous ne pouvez pas obtenir plus sécuritaire que sécuritaire" dixit le Dr Jonas Salk, se référant à son vaccin contre la polio en 1955.

Le premier essai à grande échelle du vaccin de Salk (polio) commença aux États-Unis le 26 avril 1954, où 440,000 enfants furent vaccinés. Après presque un an d'analyse, les résultats furent présentés le 12 avril 1955. La Fondation pour la paralysie infantile (Foundation for Infant Paralysis) annonça au monde entier que le vaccin inventé par le docteur Jonas Salk était "sécuritaire, puissant et efficace". L'annonce au public américain du succès du vaccin (sucré) contre la polio entraîna des cérémonies de réjouissance a travers le pays. Dr Jonas Salk fut déclaré héros national, et Hollywood voulait même faire un film sur sa vie.

Moins de deux semaines après cette annonce, un désastre majeur survint. Le 24 avril 1955, un cas de polio paralytique se produisit sur un enfant récemment vacciné. Deux jours plus tard, le Ministère de la Santé de l'état californien (Californian State Health Department) avisa l'Institut National de la Santé (National Institute of Health) que six enfants avaient développé la polio une semaine à dix jours après la première injection. Ce qui deviendra connu comme le "désastre Cutter" (Cutter étant la compagnie qui prépara le vaccin), des enquêtes trouvèrent qu'il y avait environ 250 cas associées aux vaccins, dont 150 étaient partiellement ou totalement paralysés. Sept sont morts. Le compte rendu suivant cette tragédie fut écrit par le docteur M. Beddow Bayly et publié par la Société nationale antivivisection (National Antivivisection Society) en 1956:

"C'était le 12 avril 1955, le dixième anniversaire de la mort du Président Franklin Roosevelt, que la Fondation de la paralysie infantile (Foundation of Infantile Paralysis) dit au monde entier, en utilisant tous les moyens possibles de publicité, que le vaccin inventé par le docteur Jonas Salk était "sécuritaire, puissant et efficace".

"À la réunion de 500 médecins et scientifiques à Ann Arbor, Michigan, le docteur Salk et le docteur Francis firent de telles revendications impétueuses pour le vaccin que presque chaque journal américain déclara que le docteur Salk avait aboli la poliomyélite.

"Seulement 13 jours après que le vaccin ait été acclamé, par toute la presse et la radio américaine, comme une des plus grandes découvertes du siècle et 2 jours après que le ministre anglais de la santé ait annoncé qu'il irait de l'avant pour la fabrication du vaccin, vint la première nouvelle de désastre. Des enfants inoculés par une marque de vaccin avaient développé la poliomyélite. Durant les jours suivants, de plus en plus de cas étaient rapportés, certains d'entre eux après l'inoculation par d'autres marques de vaccin. Alors vint une autre complication tout à fait inattendue. L'officier médical (medical officer) de Denver, le docteur Florio, annonça que le développement de ce qu'il appelait "polio-satellite", c'est-à-dire des cas de la maladie chez les parents ou autres proches contacts des enfants qui avaient été inoculés et, après quelques jours de maladie à l'hôpital, étaient retournés à la maison; ils communiquaient la maladie aux autres, quoique n'en souffrant pas eux-mêmes.

Le 23 juin 1955, le Service de santé publique américain (American Public Health Service) annonça qu'il y avait eu 168 cas confirmés de poliomyélite parmi les vaccinés, avec 6 décès, et 149 cas parmi les contacts des enfants à qui l'on donna le vaccin Salk, avec 6 décès.

"Mais en ce qui concerne les cas "satellite", la situation est de beaucoup plus grave. Selon le docteur Florio, les enfants, lorsqu'ils sont inoculés avec un vaccin imparfait, peuvent devenir porteurs du virus. Il estima (Daily Express, 16/05/1955) que tous les 1.500 enfants vaccinés de Denver étaient devenus porteurs. 'Nous avons créé un groupe de porteurs', dit-il, 'et, alors, il y aura un autre groupe de porteurs et ainsi le cycle continuera. C'est très pénible.' Certains des contacts contractèrent la maladie dans sa forme la plus mortelle.

"L'intervalle entre l'inoculation et le premier signe de paralysie varie de 5 et 20 jours, et dans une large proportion des cas, cela commença dans le membre dans lequel l'injection avait été donnée. Une autre caractéristique de la tragédie était que le nombre de cas développant la polio était beaucoup plus grand que ce qui avait été prévu s'il n'y avait pas eu d'inoculations.

En fait, dans l'état de l'Idaho, d'après une affirmation du Dr Carl Eklund, une des principales autorités gouvernementales en matière de virus, la polio frappa seulement les enfants vaccinés dans des régions où il n'y avait eu aucun cas depuis l'automne précédent; dans 9 cas sur 10, la paralysie survint dans les bras dans lesquels le vaccin avait été injecté (News Chronicle, 06/05/1955).

Un article dans le magazine Time (30/05/1955) commenta:

"Rétrospectivement, une bonne partie du blâme pour le fiasco du vaccin alla également à la Fondation nationale (National Foundation) qui, par des années de publicité, avait développé le danger de la polio hors de toute proportion jusqu'à sa fréquence actuelle, et s'était précipitée dans les vaccinations, cette année, avec une préparation manifestement insuffisante".

Ce désastre se trouva être le premier lien dans la suite des événements qui bannirent éventuellement le vaccin Salk des États-Unis.

Le 15 octobre 1955, The American Capsule News, publié à Washington D.C., publia les énoncés suivants:

"LE RAPPORT SUR LE VACCIN SALK. Ceux qui croyaient avec optimisme que les pourparlers de vente des vendeurs du vaccin Salk et de la Fondation Nationale pour la paralysie infantile (National Foundation for Infantile Paralysis) sont désillusionnés et désappointés. Loin d'avoir aidé la polio, elle a apparemment augmenté dans plusieurs états et villes".

Au Massachusetts, la pire épidémie de polio de son histoire se produisit après que 130.000 enfants furent vaccinés par le vaccin Salk de la polio. Comparé au niveau des 273 cas de polio en 1954, en 1955, les 2,027 cas de polio furent rapportés, sur lesquels les autorités bannirent immédiatement son utilisation. Des augmentations similaires se produisirent dans d'autres états: au Connecticut, le nombre de cas de polio rapportés passa de 144 en 1954 à 275 en 1955; au New Hampshire - de 38 à 129; au Rhodes Island - de 22 à 122; dans l'état de New York - de 469 à 764; au Wisconsin - de 326 à 1,655.

Dans le Idaho, des experts en santé publique trouvèrent que (i) la maladie frappe dans des régions où il n'y avait aucun cas précédents de polio; (ii) seulement les enfants qui avaient reçu le vaccin étaient devenus malades; et (iii) les premiers signes de paralysie se produisirent dans le bras où les enfants avaient été vaccinés.

Lors d'une convention de la AMA de cette même année, l'homme qui supervisa le plus grand mouvement au pays pour le vaccin de la polio, le chirurgien généraliste Leonard Scheele, admit que:

"Aucun lot du vaccin ne peut être assuré d'être sécuritaire avant qu'il soit donné aux enfants".

En 1958, des campagnes de vaccination massive déclenchèrent une augmentation désastreuse de la fréquence de la polio aux États-Unis et au Canada. L'augmentation la plus élevée fut de 700 % à Ottawa au Canada. La fréquence la plus élevée aux États-Unis se produisit dans ces états qui avaient été amenés à adopter les injections obligatoires de la polio. Ci-dessous sont les chiffres tels que démontrés dans le livre d'Hannah Allen, "Don't get Stuck".

États concernés 1958-1959
avant les injections obligatoiresaprès les injections obligatoires  
  Caroline du Nord  78 cas 313 cas
 Connecticut 45 cas123 cas
 Tennessee 119 cas386 cas
 Ohio 17 cas 52 cas

Suite aux campagnes de vaccinations, au niveau national, de 1954 et de 1955, le docteur Langmuir du Service de santé publique des États-Unis (US Public Health Service) et en charge du contrôle de la polio, déclara: "Je prédis que d'ici 1957 il y aura moins de 100 cas de polio paralytique aux États-Unis".

D'après Hannah Allen, en 1957 aux États-Unis, "presque la moitié des cas de paralysie de la polio chez les enfants de 5 et 14 ans se produisirent chez les enfants vaccinés. Il était admis que le vaccin avait causé la paralysie". "En 1958, des 6,029 cas, 3.122 étaient paralytiques. En 1959, des 8.577 cas de polio rapportés, 5,694 étaient paralytiques, desquels environ 1.000 se produisirent chez des personnes vaccinées trois fois ou plus.

Il est remarquable que quatre des cinq compagnies de vaccin de Salk cessèrent de produire ce vaccin à cause de son échec et [surtout!] à cause des actions judiciaires déposées contre eux. La American Cyanamid (Lederle) était la seule compagnie qui continuait à le produire et ils ne donnaient aucune garantie en ce qui concerne sa sécurité ou son efficacité. (Il fut également rapporté que le personnel de l'American Cyanamid ne vaccinait pas leurs propres enfants contre la polio.)

En 1960, un nouveau vaccin contre la polio, connu comme le vaccin Sabin, fut autorisé pour la fabrication aux États-Unis, et cela remit rapidement le vaccin Salk à l'oubli. Cette même année, un défaut effrayant fut découvert dans les vaccins de Salk et de Sabin. Deux virologues, les docteurs B. H. Sweet et M. R. Hilleman, trouvèrent que les deux vaccins étaient contaminés par un virus (connu sous le nom de SV 40) qui induisait des tumeurs malignes chez les hamsters nouveau-nés. À ce moment-là, des millions d'enfants avaient reçu des vaccins de la polio contaminés par le virus SV 40. Le Medical Journal of Australia (17/03/1973, p. 555) contient les informations suivantes sur une telle contamination:

"Ce raisonnement fut rudement ébranlé en 1958 lorsque arriva le premier avertissement que tout n'allait pas bien avec les cellules de reins de singe les plus largement utilisées comme principal tissu, particulièrement pour le vaccin de la poliomyélite. À date, plus de 40 virus simiesques séparés ont été isolés de ce tissu. Ils incluent le virus B, connu pour causer l'encéphalite chez l'homme, et le SV 40, qui peut autant produire le cancer chez les hamsters que produire des changements dans les cultures de tissu cellulaire humain.

"Il n'y a aucun signe jusqu'à maintenant que les vaccins cultivés sur du tissu primaire de rein de singe produisent des symptômes alarmants. Mais les symptômes peuvent ne pas apparaître pendant 20 ans ou plus."

Le docteur Eva Snead, dans son article, "Immunization Related Syndrome", qui parût dans le Health Freedom News en juillet 1987, spécule que les vaccins contaminés de la polio peuvent être responsables des récentes épidémies de leucémie, du cancer durant l'enfance, des malformations à la naissance et des maladies de carence immunitaire. Un point de vue similaire est tenu par le docteur Frederick Klenner des États-Unis, qui a condamné les vaccins des docteurs Salk et Sabin comme non seulement sans valeur, mais également dangereux. Le docteur Klenner a déclaré: "Plusieurs expriment une opinion silencieuse que les vaccins Salk et Sabin, étant faits sur du tissu de rein de singe, ont étés directement responsables de l'augmentation majeure de la leucémie dans ce pays".

En 1961, le Service de la santé publique des États-Unis rapporta que les 11 personnes qui reçurent le vaccin buccal de Sabin lors d'une campagne d'immunisation massive à Syracuse dans l'état de New York, avaient développé la polio. En 1964, à la suite de plusieurs instances de polio paralytique associées au vaccin, le Service de santé publique des États-Unis recommanda que le vaccin Sabin soit interrompu pour les adultes.

En 1977, le docteur Jonas Salk, l'homme qui introduisit le vaccin original de la polio dans les années 50, témoigna, de concert avec d'autres scientifiques, que l'inoculation massive contre la polio était la cause de la plupart des cas de polio qui arrivèrent à travers les États-Unis depuis 1961. Le docteur Salk a également déclaré que la plupart des cas de polio qui étaient arrivés aux États-Unis depuis le début des années 70 étaient le sous-produit du vaccin vivant de la polio utilisé partout aux États-Unis. Le docteur Salk a déclaré dans Science (04/04/1977, des abrégés):

"Les vaccins viraux vivants contre la grippe et la polio paralytique, par exemple, peuvent dans chaque instance, causer la maladie qui devait être prévenue ; les vaccins viraux vivants contre la rougeole et les oreillons peuvent produire des effets secondaires tels que les encéphalites… Le vaccin viral vivant de la polio est maintenant la principale cause de la polio aux États-Unis et dans d'autres pays. Contrairement aux croyances antérieurement soutenues à propos des vaccins du virus de la polio, l'évidence existe maintenant que le vaccin viral actif vivant ne peut pas être administré sans risque d'introduire la paralysie…. Le vaccin viral actif vivant de la polio transporte un risque léger inhérent au déclenchement de la poliomyélitique paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts".

Le Centre de contrôle de la maladie des États-Unis (Centre for Disease Control) rapporta que 1982 et 1983 étaient les premières années durant lesquelles tous les cas de polio paralytique étaient associés au vaccin. Le MMWE (31/12/1986) rapporte qu'aux États-Unis, entre 1980 et 1985, il y avait 55 cas de poliomyélite paralytique parmi lesquels 51 furent "associés au vaccin".

Réagissant au débat en cours parmi les immunologistes en ce qui concerne le risque relatif du virus tué (le vaccin Salk) versus le virus vivant (le vaccin Sabin), le docteur Robert Mendelsohn (East-West Journal, novembre 1984) dit:

"Je crois que les deux factions sont justes et que l'utilisation de l'un ou l'autre des vaccins augmentera, ne diminuera pas, la possibilité que votre enfant contractera la maladie. En résumé, il apparaît que la façon plus efficace de protéger votre enfant de la polio est de s'assurer qu'il n'obtienne pas le vaccin."

Dans son livre "The Untold Danger", Ida Honorof dit:

"Le dommage fait aux enfants prenant le vaccin contre la polio est bien documenté… les décès et paralysie à partir des vaccins de Salk et de Sabin."

Encore là, malgré toute l'évidence qui condamne les vaccins de Salk et de Sabin, le texte médical courant, "Essentials of Infectious Disease", par Mandell et Ralph, contient les "informations" suivantes sur les vaccins de la polio:

"Le vaccin inactivé (Salk) n'a pas été rapporté avoir produit des effets adverses. Le vaccin oral du virus vivant de la polio (Sabin) a rarement été associé à la maladie paralytique chez les receveurs ou chez les proches des receveurs."

Tout comme Ross Home, l'auteur de "Health Revolution" dirait: "Cela confond l'imagination!".

Le vaccin de la rougeole

Aux États-Unis, l'histoire des campagnes de vaccination contre la rougeole n'a été rien d'autre qu'un pur et simple échec. D'après le docteur Robert Mendelsohn:

"En 1978, une étude faite dans 30 états américains (US) démontra que plus de la moitié des enfants qui ont contracté la rougeole avaient été adéquatement vaccinés".

Dans ce qui devint une déclaration prophétique, ou devrais-je dire euphémisme, le Science News (13/09/1986) déclara: "La guerre contre la rougeole ne va pas comme prévu". D'après le Morbidity and Mortality Report (MMWR, octobre 1990): "Parmi toutes les personnes qui contractèrent la rougeole dans les établissements collégiaux à partir de 1986 jusqu'à 1989, 49 % ne présentaient aucun signe de vaccination contre la rougeole". Ou, en d'autres termes, 51 % avaient des signes évidents de la vaccination contre la rougeole.

Dans le MMWR (édition du 27 juillet 1990), il est dit: "En 1989, 170 cas de première manifestation de rougeole aux États-Unis, impliquant d'une manière prédominante des personnes d'âge scolaire, expliquèrent les 32 % de tous les cas rapportés. Un pourcentage aussi élevé que 89 % des patients dans ces premières manifestations avaient été vaccinés à leur premier anniversaire ou après. "En 1989, des 17,850 cas de rougeole rapportés, 7,149 furent convenablement vaccinés et 6,033 avaient des signes évidents de vaccination antérieure" (MMWR, le 1er juin 1990).

Le Journal of the American Medical Association (21/11/1990) contient un article sur la rougeole qui dit:

"Quoique plus de 95 % des enfants d'âge scolaire aux États-Unis soient vaccinés contre la rougeole, de nombreux cas de rougeole continuent à arriver dans les écoles, et la plupart des cas, dans cet environnement, arrivent parmi les enfants précédemment vaccinés".

En Hongrie, entre décembre 1988 et mai 1989, il y eut 19.000 cas de rougeole, dont 77 % âgés de 17 à 21 ans, avaient des antécédents de vaccination contre la rougeole. L'éditorial accompagnant ce rapport (MMWR, 06/10/1989) dit: "Les taux élevés d'attaque à un âge spécifique dans ce groupe d'âge dans lequel la couverture de vaccination était d'au moins 93 %, suggère que l'échec du vaccin joua un rôle majeur dans cette épidémie".

Malgré les niveaux élevés de vaccination contre la rougeole parmi les enfants australiens (approximativement 80 %), de nouveaux cas se produisirent quand même dans plusieurs états au courant de l'année 1990. D'après le docteur Michael Levy du Ministère de la santé du NSW, 50 % des cas de rougeole au NSW se produisirent chez des enfants entre l'âge de 6 et 10 ans où il était "incertain" {de savoir} si ces enfants avaient été ou non immunisés. À Victoria, l'administrateur du Ministère de la santé de la région de Hunter, le docteur John Stephenson, a dit qu'environ 20 % des enfants affectés par la première manifestation de la rougeole de Hunter avait reçu le vaccin contre la rougeole.

En 1963, le Canada et les États-Unis commencèrent à utiliser un vaccin de rougeole tué. Plus de 600.000 enfants reçurent ce vaccin dont un grand nombre devint sujet, comme jeunes adultes, à ce qui est connu comme une "rougeole atypique", une condition caractérisée par une pneumonie sévère et d'autres conditions menaçantes pour la vie. Dans un article publié dans le Journal of the American Medical Association, le docteur Haas et son collègue le docteur Vernon Wendt, avertirent que la maladie pourrait apparaître chez un aussi grand nombre de personnes que 400,000. La chose inquiétante est que cette condition peut ne pas émerger avant plusieurs années plus tard. Le docteur Haas traita une patiente de 17 ans ayant la rougeole atypique et qui avait reçu le vaccin tué 14 ans plus tôt. Comme le docteur Haas déclara: "L'âge de notre patiente et le délai de 14 jours semblait indiquer qu'il n'y avait aucune limite certaine entre l'immunisation et l'assaut de la rougeole atypique".

Le docteur Marshall Horowitz, un éminent virologue du Collège de Médecine Albert Einstein, et parmi les premiers à identifier la rougeole atypique, fit la déclaration suivante sur ce désastre: "Il n'y a aucune façon de prédire quand cela arrêtera. Je ne prédirai pas qu'il deviendra plus bénin au fur et à mesure que nous nous éloignerons de la vaccination initiale. Ce ne sont pas tous les cas de rougeole atypique qui ont été rapportés mais probablement que des centaines (ou des milliers) de cas sont arrivés".

Le vaccin de rougeole tué fut éventuellement abandonné et remplacé par un vaccin vivant. Le Australian Medical Journal (17/03/1973, p. 552) déclara:

"… 46 % des individus qui furent vaccinés avec le vaccin vivant à la suite du développement du vaccin de la rougeole tuée, développèrent de l'érythème et de l'induration à l'endroit de l'injection. Des réactions ont également été rapportées chez les enfants exposés à la rougeole naturelle qui avaient été précédemment vaccinés avec le vaccin tué. Celles-ci ont pris la forme de la rougeole atypique avec urticaire, des lésions pétéchiales et purpuriques, pneumonie et fièvre sévères".

Le docteur Mendelsohn déclara que le vaccin vivant de la rougeole est associé à l'encéphalopathie et à la pancéphalite (encéphalites multiples) sous-aigu et sclérosantes, qui causent le durcissement du cerveau et est invariablement fatal. Des complications secondaires incluent la sclérose en plaques, le syndrome de Reye, des désordres de coagulation du sang et l'assaut de diabète juvénile pour n'en mentionner que quelques-uns. Le docteur Mendelsohn a averti: "Je considèrerais les risques associés à la vaccination de la rougeole inacceptables même s'il y avait une évidence convaincante que le vaccin fonctionne. Il n'y a en a pas".

Le docteur Archie Kalokerinos, dans son entretien à la convention sur la santé naturelle, Stanwell Tops, NSW (mai 1987), commente sur la campagne de la rougeole en Afrique:

"C'était similaire à la vaccination de la rougeole. Ils sont allés partout en Afrique, en Amérique du Sud et ailleurs, et vaccinèrent les enfants malades et affamés.. Ils prétendirent qu'ils exterminèrent la rougeole, mais ils ne peuvent établir le bien-fondé de cette affirmation. La rougeole est une maladie qui est en tain de changer. La plupart des gens prédisposés à la rougeole moururent de certaines autres maladies qu'ils développèrent après avoir été vaccinés. Cela réduisit leurs niveaux immunitaires et agit comme une infection et les assomma raide. Ils auraient pu avoir contracté la septicémie, la gastro-entérite, etc., ou avoir empiré leur état nutritionnel et ils moururent de malnutrition. Ainsi, il resta très peu de nouveau-nés vivants prédisposés à contracter la rougeole. C'est une façon d'obtenir de bonnes statistiques, tuer tous ceux qui sont prédisposés, ce qu'ils firent littéralement".

Le vaccin de la rubéole

Les vaccinations à grande échelle contre la rubéole commencèrent en Australie en 1971. Le Australian Nurses Journal (novembre 1981) contient un article intitulé, "L'immunisation contre la rubéole, un fouillis d'absurdités, et quelques commentaires" (Rubella Immunisation: A Tangle of absurdities and some Comments) par le docteur Archie Kalokerinos et le docteur Glen Dettman. Ces médecins écrivirent:

"Après des années de vaccination au Royaume-Uni, aux États-Unis et en Australie, il n'y a aucune évidence encourageante pour démontrer que les anticorps maternels de la rubéole, qu'ils soient contractés naturellement ou induits par vaccin, procureront la protection que nous avions espérée.

"La campagne d'immunisation massive contre la rubéole n'a duré qu'environ sept ans, ainsi, de façon générale, le premier lot de vaccins n'a pas encore atteint l'âge auquel la plupart des femmes ont leur premier enfant, environ 22 ans. Jusqu'alors, nous ne saurons pas de façon certaine si le programme d'immunisation contre la rubéole a été un succès ou non.

"Notez qu'en premier lieu, personne ne sait si cette campagne à grand battage mettra de l'avant le succès si malhonnêtement promu. En effet, nous savons déjà que le programme fut un échec au Royaume-Uni… 'CENDEVAX' allait résoudre les problèmes associés à la rubéole, mais après une décennie de vaccination, il est maintenant concédé au Royaume-Uni que le programme a échoué. La tératogenèse est encore autant un problème maintenant qu'il l'était 10 ans auparavant lorsque le projet fut introduit, sans parler des effets secondaires causés par 'l'immunisation inoffensive' se conférant à la vie' promis par le corps médical".

L'échec de la campagne de vaccination contre la rubéole au Royaume-Uni a été confirmé dans le British Medical Journal et The Lancet.

D'après le British Medical Journal (02/04/1983, p. 1083):

"Aucune défense scientifique n'est possible dans l'approche britannique actuelle de la vaccination contre la rubéole. Il n'a pas réussi à protéger les femmes en âge de porter un enfant…"

The Lancet (01/01/1983, page 39) dit que:

"Les programmes actuels de vaccination contre la rubéole ont varié lorsque la connaissance des caractéristiques du vaccin était encore incomplète et n'ont pas été complètement couronnés de succès pour la protection des personnes à risque maximum des séquelles de la vaccination de la rubéole.

Au Royaume-Uni, il y a eu, comme prévu, peu de changement dans la tendance séculaire de l'occurrence de la rubéole. Deux importantes épidémies se sont produites en 1969-81 avec des augmentations substantielles du nombre d'enfants nés avec le symptôme congénital de la rubéole et du nombre d'avortements thérapeutiques pour des infections de la rubéole. Ces événements suggèrent la conformité inachevée à la tragédie de vaccination contre la rubéole…"

Le docteur Beverly Allen, un virologiste du Laboratoire de microbiologie et de pathologie (Australian Laboratory of Microbiology ang Pathology) à Brisbane, Queensland (Australie), a conduit des études sur l'efficacité des vaccinations de la rubéole. Ces études fournissent l'évidence accablante que les vaccinations de la rubéole ne donnent aucune protection que ce soit. Des recrues de l'armée reçurent le vaccin de la rubéole et furent ensuite envoyées à un camp qui avait habituellement une épidémie annuelle de rubéole; 80 % de ces recrues vaccinées devinrent infectées par la rubéole. (Australian Nurses Journal, mai 1978)

En 1971, à Casper au Wyoming, États-Unis, une épidémie de rubéole se produisit un an après que 83 % des enfants d'âge scolaire de la ville aient été vaccinés contre la maladie; 91 % des 125 cas arriva chez des enfants vaccinés.

Le docteur Mendelsohn a écrit:

"Une étude après l'autre a démontré que plusieurs femmes immunisées contre la rubéole, étant enfants, manquent de preuve d'immunité dans les tests sanguins donnés durant leur adolescence. D'autres tests ont démontré un taux d'échec élevé du vaccin chez les enfants à qui furent données des injections de la rubéole, de la rougeole et des oreillons, soit séparément ou sous forme combinée".

The Lancet contient un article sur la rubéole, qui rapporte:

"L'immunité à l'infection par le virus de la rubéole, étant soit le résultat d'une infection naturelle ou d'un vaccin atténué, n'est d'aucune façon absolue. Les infections sous cliniques peuvent s'ensuivre et cela est plus probable chez ceux à qui l'immunité est induite par vaccin que chez ceux qui l'acquirent par infection naturelle".

En avril 1971, un rapport de Merch, Sharp et Dohme des États-Unis, révéla que 5 à 10 % des adolescentes et plus de 30 % des femmes expérimentèrent des réactions adverses au vaccin de la rubéole. De telles réactions incluent l'arthrite, l'arthralgie, la névrite et la polynévrite. Ces symptômes peuvent durer pendant plusieurs mois et ne peuvent pas se produire jusqu'à aussi longtemps que deux mois après la vaccination.

Le docteur Aubrey Tingle, une immunologiste en pédiatrie à l'Hôpital pour Enfants de Vancouver en Colombie-Britannique, Canada, a trouvé que 30 % des adultes qui avaient été exposés au vaccin de la rubéole souffrirent de l'arthrite deux ou trois semaines après la vaccination, allant de jointures endolories modérément au handicap sévère. Tel que rapporté dans le Maclean's Magazine (08/02/1982), le docteur Tingle et ses camarades de recherche trouvèrent le virus vivant de la rubéole chez un tiers des patients - chez les enfants et les adultes - avec arthrite rhumatoïde. Qui plus est, le docteur Tingle affirma que des patients avaient des périodes récurrentes d'arthrite jusqu'à plus de 10 ans après leurs immunisations. Se référant aux enfants qui reçurent les injections de rubéole, le docteur Tingle avertit que: "Les effets à long terme sont le problème majeur non résolu auquel nous devons faire face".

La revue Australian Wellbeing Annual 1991 contient un article, "Jab Happy", par Leon Chaitow, dans lequel il écrit:

"En plus de ce danger (se référant à l'arthrite causée par les injections de la rubéole), le lauréat du Prix Nobel, le docteur John Enders, écrivant également dans le New England Journal of Medecine, suggère que la vaccination contre la rubéole sur des jeunes filles rend plus vraisemblable qu'elles contracteront la rubéole lorsqu'elles grandiront, plutôt que moins vraisemblable, puisque la vaccination offre seulement une protection partielle, contrairement à la protection complète obtenue en ayant la maladie". Il continue alors à dire: "Pour couronner le tout, s'il y a eu une réponse immunitaire inadéquate après l'immunisation (et ceci, il semble que c'est trop commun), il y a un grand danger qu'une telle personne puisse alors devenir porteuse de la rubéole de concert avec le développement de l'arthrite et de l'hypertrophie de la thyroïde".

Un article dans la revue Science (26/03/1977) rapporte:

"Le HEW rapporta en 1970 qu'un pourcentage aussi élevé que 26 % des enfants ayant reçu la vaccination contre la rubéole lors des campagnes nationales d'expérimentation, développèrent l'arthralgie et l'arthrite. Plusieurs durent demander des soins médicaux et certains furent hospitalisés pour vérifier la présence de la fièvre rhumatismale et de l'arthrite rhumatoïde. Au New Jersey, ce même programme d'expérimentation démontra que 17 % de tous les enfants vaccinés développèrent l'arthralgie et l'arthrite".

The Lancet (1/8, janvier 1983, p. 40) dit:

"L'arthralgie et l'arthrite sont les réactions les plus pénibles rencontrées dans les programmes de vaccination à grande échelle, l'occurrence des deux augmentant avec l'âge. L'arthralgie se produit dans approximativement 25 % des cas et l'arthrite franche se produit chez environ 1 % des femmes adultes vaccinées".

Commentant sur la vaccination de la rubéole, Mendelsohn dit:

"Il n'est pas nécessaire de protéger les enfants de cette maladie inoffensive, ainsi les réactions adverses au vaccin sont inacceptables en termes d'avantage pour l'enfant. Au Connecticut, un groupe de médecins, dirigés par deux éminents épidémiologistes, ont actuellement réussi à retirer la rubéole de la liste des immunisations légalement requises".

Les vaccins contre la grippe

Les vaccins contre la grippe

Le 23 juin 1979, le journal The Australian publia une lettre du docteur A. O'Rourke, le directeur médical de l'Hôpital Général de Toowoomba, qui contenait les commentaires suivants:

"Un récent éditorial dans le British Medical Journal démontre que la grippe de type influenza est largement répartie chez les animaux et les oiseaux partout à travers le monde. La revue continue en suggérant que la fabrication - et même le concept - d'un vaccin efficace est la volonté d'une poignée de gens. Aucun produit à succès n'existe et les essais de ceux disponibles n'ont révélé aucun avantage à les utiliser. Pendant plusieurs années, il y a eu une intuition parmi le public, et les médecins pareillement, que le vaccin de la grippe de type influenza n'était pas seulement inutile mais vous rendait malade".

The Lancet (10/08/1974) contient des détails sur une étude impliquant 50.000 travailleurs de la poste et des vaccins de la grippe de type influenza. L'étude ne trouva aucune évidence pour supporter l'efficacité du vaccin. L'article déclarait:

"Aucune évidence de protection, en l'absence de la maladie, ne fut obtenue dans les unités 'vaccinées' comparativement aux unités de contrôle. Dans ces circonstances, les résultats, jusqu'à maintenant disponibles, démontrent que l'offre annuelle d'une injection de vaccin de la grippe de type influenza dans une vaste industrie n'a pas entraîné de réduction significative de la maladie".

Le Morbidity & Mortality Report (Le rapport sur la morbidité et la mortalité - 09/08/1985) traite de l'échec du vaccin parmi les résidents de maisons pour personnes âgées. Il est dit:

"En février et en mars 1985, trois manifestations distinctes de maladie semblable à l'influenza, parmi les résidents d'une maison pour personnes âgées, furent examinées par le Ministère des Services de Santé du Connecticut et par le Ministère de la Santé publique et d'épidémiologie de l'École de médecine de l'Université Yale. L'influenza de type A (H3N2) semble avoir causé les trois cas de première manifestation. Les enquêteurs trouvèrent que, dans chacun de ces cas, les résidents, qui avaient récemment reçu le vaccin couramment recommandé, étaient vraisemblablement sujets à devenir tout autant malades que les résidents non-vaccinés".

Le British Medical Journal (29/09/1990) contient un article "La vaccination contre la grippe de type influenza et les personnes âgées" ("Influenza Vaccination and the Elderly"), dans lequel il est dit:

"Alors que le vaccin peut offrir de 60 % à 80 % de protection à des adultes normaux et en santé lorsque le vaccin et les contraintes épidémiques sont étroitement reliés, une révision de 16 études dans les résidences gériatriques depuis 1972 démontra une protection méprisable contre la maladie de type influenza de seulement 27 % pour les vaccins contre l'influenza de type A(H3N2). Les vaccins contre l'influenza de type B se montrèrent encore pires, avec une mince protection de seulement 21 % dans sept études. De plus, Feery et al ne trouva aucune protection contre les cas de grippe virulente de type influenza A/Victoria/3/75 chez les personnes âgées dans les résidences d'Australie".

Dans ce qui est devenu connu comme le "grand fiasco de la grippe porcine", une campagne de vaccination massive contre une épidémie de grippe porcine aux États-Unis en 1976 eut pour résultat 56 cas de paralysie de Guillian-Barre et plus de 40 décès. Le docteur L. Anthony Morris, qui fut congédié de sa position pour avoir appelé la campagne "un fiasco insensé", déclara que, depuis 10 ans, il était su que le vaccin porcin était associé au syndrome de la paralysie de Guillian-Barre.

Même le docteur Albert Sabin, le promoteur du vaccin oral de la polio, suggéra que le programme soit abandonné et que les chances de probabilité d'une épidémie de la grippe porcine étaient de l'ordre de 1 sur 10.000. D'après le St-Petersburg Times (01/07/1976), le docteur Sabin prédit que pour chaque million d'enfants recevant une dose efficace, environ 190.000 deviendraient malades avec des symptômes tels que la fièvre, les maux de tête, les douleurs musculaires et la nausée moins de 24 heures après la vaccination. En 1977, le Centre pour le contrôle de la maladie (The Centre for Disease Control) à Atlanta aux États-Unis, après avoir obtenu l'évidence sur le GBS, annonça:

"L'évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées ont approximativement 10 fois plus de chance d'avoir la Guillian-Barre que celles qui ne sont pas vaccinées".

Les commentaires du Dr Kalokerinos sur le vaccin de la grippe (à la Convention sur la Santé Naturelle, mai 1987):

"En 1976, je travaillais dans la région du Golf aux alentours de Cape York, dans une communauté aborigène d'environ 300 personnes. Le Ministère de la santé envoya une équipe et vaccina à peu près 100 d'entre eux contre la grippe. Six moururent en moins de 24 heures, ou à peu près, et ils n'étaient pas tous des gens âgés, un homme étant dans la vingtaine. Ils lancèrent les corps dans des camions pour les amener jusqu'à la côte, où des autopsies furent faites. Il semblait qu'ils étaient morts d'une crise cardiaque".

D'après le docteur William Frosehaver (Scipps Howard News Service, 05/11/1986): "Le risque de souffrir de complications sérieuses à partir des vaccins de la grippe est beaucoup plus grand que {le risque d'attraper} la grippe".

Le vaccin contre la tuberculose (B.C.G.)

Il y a un désaccord largement répandu à l'intérieur des rangs de la médecine en ce qui concerne la valeur et la sécurité du vaccin B.C.G.. Les essais contrôlés ont démontré une immunité extrêmement variable chez les receveurs du vaccin. Lors d'un grand procès dans le Sud de l'Inde, impliquant 260.000 personnes, non seulement il fut démontré que le vaccin était totalement inefficace mais plus de cas de tuberculose se produisirent dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo.

Un rapport de cet échec apparaît dans The Lancet (12/01/1980, p. 73), sous le titre "BCG, de mauvaises nouvelles de l'Inde". Il y est dit:

"Les antécédents de l'immunisation contre la tuberculose est une histoire de recul, de controverse et de surprise. Et ainsi ça continue, avec la révélation qu'un grand procès sur le B.C.G. dans le sud de l'Inde - le plus grand terrain d'essai contrôlé jamais fait avec ce vaccin - n'a démontré aucune évidence d'un effet protecteur. Quoique les résultats des 7,5 années de suivi rapportés dans le Journal de recherches médicales Indien (Indian Journal of Medical Research) soient incomplets, ils sont négatifs. En fait, un peu plus de cas de tuberculose sont apparus chez des vaccinés que dans des groupes de contrôle placebo à nombre égal; ça ressemble à un autre effet zéro".

Croyez-le ou non, cet article continue en disant:

"En dépit de ces problèmes, le B.C.G. demeure l'un des vaccins les plus largement utilisés dans le monde aujourd'hui. L'Organisation Mondiale de la Santé a encouragé vigoureusement son utilisation pendant des années, et le gouvernement indien, malgré les récentes découvertes, a recommandé sa continuation".

L'homme le plus responsable de l'introduction du vaccin B.C.G. en Suède, le professeur Walgen, devint désillusionné par le vaccin après avoir appris que quatre personnes moururent suite à la vaccination du B.C.G.. Le professeur Walgen déclara:

"Jusqu'à présent, encouragés par la publicité à y avoir autant de gens que possible à se faire vacciner par le B.C.G., même s'il n'y avait pas de risque évident d'exposition. Nous ne pouvons plus accepter le non-dangerosité de notre propagande. La plupart des vaccinations du B.C.G., dans des pays comme la Suède, n'ont jamais eu l'occasion de stimuler une action protectrice durant l'enfance. En un mot, elles étaient inutiles".

Dans le livre "Infectious Disease" (Maude), il est mentionné que jusqu'à 5 % des receveurs du B.C.G. développent des ulcères cutanés persistants ou en dispersion, des ganglions lymphatiques inflammés ou la formation de kéloide. Dans son livre "Attenuated Infection" (Infection atténuée - 1960), Harold Simon, M.D., dit:

"Des souches du B.C.G. produisent la morbidité, sinon la progression actuelle de la tuberculose chez l'homme. Un rapport de la Hollande indique qu'un nombre significatif de nouveau-nés développèrent la lymphodine (lymphadenitis), la conjonctivite phlycténulaire et l'écoulement des sinus, suite à la vaccination du B.C.G.".

D'après les docteurs Archie Kalokerinos et Glen Dettman, les vaccins contre la tuberculose en Australie entraînèrent plus de 600 décès chez les enfants ("Let's Live", décembre 1975, page 57).

Il est intéressant de noter que les Pays-Bas, en dépit {du fait} de n'avoir eu aucun programme national de B.C.G., avaient, en 1957-59 et 1967-69, vis-à-vis de tous les pays européens, le plus bas taux de mortalité de la tuberculose respiratoire.


Source: Cliquerici.