Sommes-nous tous

des Extra-Terrestres?




«DIEU créa l'être humain à Son Image, Il le créa à l'Image de Dieu, Il créa l'homme et la femme.» (Bible - Genèse I, 27.)

Selon de récentes découvertes scientifiques en génétique, la vie sur Terre serait d'origine "étrangère". Et d'après des informations codées dans les passages de certains Écrits bibliques, elle serait même " extra-terrestre". Quid?



Introduction

Dans son livre «Les Pèlerins du Cosmos», l’écrivain Jean Choisel, (1921-2001), pionnier, dans les années soixante et soixante-dix, de l’écologie et même de l’ufologie, après avoir rédigé la première partie de son ouvrage, consacrée aux extra-terrestres et intitulée «Les extra-terrestres et nous», appela la deuxième partie de son livre (paru en 1974): «Nous, les extra-terrestres».

À l’époque, il le voyait surtout d’un point de vue spirituel, puisque la deuxième partie du livre décrit principalement le périple cosmique de l’esprit humain, lequel commence hors de la Terre et se termine hors de la Terre. Pourtant, la science nouvelle découvre, peu à peu, ce qui - sommes toutes - est parfaitement logique, que, d’un point de vue bio-logique aussi, «nous sommes tous des extra-terrestres».

Là où il n’y a pas assez de gènes il n’y a pas de plaisir!

Récemment, une surprenante découverte a été annoncée par des scientifiques qui auraient déchiffré le secret du génome humain, qui définit toute chose au sujet de notre apparence physique. Ce matériau complexe ne se trouve pas seulement dans chaque cellule de notre corps humain mais dans toute entité biologique vivante.

En termes très simplifiés, l’on peut dire que notre ADN présente deux «colliers de perles entrelacés» l’un autour de l’autre, où chaque perle représente un gène responsable d’une partie de ce qu’est le corps gros-matériel de chacun. Par exemple, un gène peut décider de la couleur de ses yeux, un autre gène définit le genre de protéine se trouvant dans son muscle cardiaque, un autre gène va influencer la texture et la couleur de ses cheveux, etc.

Chaque partie de votre corps peut être définie par les gènes qui définissent votre corps gros-matériel, lorsqu’un spermatozoïde de votre père, contenant la moitié du patrimoine génétique (23 chromosomes) s’unit à un ovule de votre mère contenant l’autre moitié (23 chromosomes). Au moment stratégique la combinaison des deux ADN fournit toute l’information nécessaire (46 chromosomes) pour définir, former et entretenir votre corps terrestre.

Les séquences ADN de nombreuses autres formes de vie ont déjà été décodées depuis celles d’une simple bactérie jusqu’à celles de l’être humain. Les scientifiques se sont passionnés pour cette nouvelle information permettant de comparer l’ADN humain avec celui des autres formes de vie. L’un de leurs objectifs était de se faire une idée au sujet de comment nos corps physiques ont évolué. Le résultat en est de surprenantes vues nouvelles…

L’on peut déjà savoir qu’une minuscule mouche de vinaigre a déjà pas moins de 13.601 gènes.

Il apparaît que nous les êtres humains avons seulement environ 30.000 gènes et non - étant donné que nous sommes censés être beaucoup plus évolués que les autres formes de vie biologique présentes sur la Terre - les 100.000 ou même 140.000 attendus par les scientifiques.

C’est à peine ce qui serait nécessaire rien que pour la spécificité de nos gènes humains… Par exemple, nos gènes, comparés avec ceux des chimpanzés, sont les mêmes à 99 % et les gènes que nous avons en commun avec les souris représentent 70 % de notre bagage génétique complet…

S’il existe une quasi-identité génétique de près de 99 % entre l'homme et les deux espèces de chimpanzés (pourcentage qui fera frémir certains), il est aussi frappant de savoir que cette grande ressemblance génétique est supérieure à celle existant entre les chimpanzés et les gorilles, eux-mêmes faisant pourtant partie de la même sous-famille des Paninés. Les données génétiques et moléculaires sont formelles sur ce point. Cela tendrait à prouver que les chimpanzés sont nos seuls «cousins» vraiment directs.

De nombreux gènes humains ont des fonctions similaires ou identiques aux gènes trouvés dans d’autres organismes vivants, les complexes et les simples.

Toute l’information présentement disponible au sujet de l’ADN a conduit les scientifiques à la conclusion qu’il existe une source commune d’ADN ayant trouvé son chemin dans chaque entité vivant(e) sur cette planète.

En outre, à travers les âges, les formes de vie sont devenues toujours plus complexes et plus hautement évoluées par l’adjonction de gènes originaux disponibles provenant de simples organismes, quelques-uns d’entre eux ayant muté au fil du temps… Tout cela a culminé lors de l’apparition de l’«Homo sapiens» … nous!

L’on peut dire que notre ADN est, à beaucoup d’égards, un mélange – ou, mieux dit, un assemblage – de tous les autres ADN existant sur la Terre … avec, toutefois, une seule grande exception.

Cette exception est la partie qui continue de bluffer les meilleurs scientifiques de la Terre… Ce sont les 223 gènes de l’ADN humain qui n’existent pas dans les autres organismes vivants connus sur Terre. En d’autres termes, il apparaît que nous n’avons pas hérité ce paquet de gènes de quelque autre forme de vie existant sur cette planète!

Ceci soulève une très évidente question. D’où viennent ces 223 gènes inconnus? Les meilleurs des scientifiques peuvent supputer qu’ils proviendraient d’une «infection bactérienne latérale» jadis survenue dans notre lointain passé. Dit d’une autre manière, ces mystérieux gènes furent aussitôt implantés dans l’ADN de notre ancêtre par une infection bactérienne. Cela voudrait dire que tous les êtres humains terrestres actuels seraient le résultat d’une infection bactérienne! Assez peu poétique!

Si l’on écarte celle-ci (et nous verrons plus loin qu’elle ne tient pas la route), quelle autre possibilité reste-t-il? Est-il possible qu’une race avancée d’êtres extra-terrestres aient visité cette planète il y a des milliers – voire des centaines de milliers – d’années et aient glissé ces 223 gènes dans l’ADN de l’un de nos ancêtres?

C’est une hypothèse qui est loin d’être aussi farfelue qu’elle pourrait le sembler de prime abord…

En effet, aujourd’hui, des scientifiques font déjà de semblables choses lors d’expérimentations et de manipulations génétiques… Tout le monde a maintenant entendu parler des tristement célèbres «OGM» («Organismes Génétiquement Modifiés»). Ce qui est possible sur des plantes est aussi possible sur des animaux, et ce qui est aussi possible sur des animaux est aussi possible sur des … êtres humains!

De plus, il existe une évidence appuyant le concept de «raccordement latéral». Et une partie de cette évidence pourrait être retrouvée dans les tablettes d’argile laissées par les anciens Sumériens qui vivaient il y a six millénaires, ainsi que l’affirme Zachariah Sitchin dans son livre «La Genèse revisitée».

Avec une telle hypothèse, il apparaîtrait que les extra-terrestres ne seraient pas à rechercher seulement hors de la Terre… Nous y reviendrons.


Le Code de la Bible

C’est présentement un autre «Jean» - Jean Sider – qui, notamment dans un article portant cette phrase comme titre, reprend, présentement, le célèbre cri: «Nous sommes tous des extra-terrestres!»

Dans un article (voir référence à la fin) ainsi intitulé, Jean Sider se réfère, en particulier, au Code de la Bible. En effet, fait-il observer, depuis la parution, en 1997, du livre du journaliste américain Michaël Drosnin «La Bible: «Le Code Secret» nous connaissons l’existence d'informations codées dans la Bible, qui ont été démontrées par des statistiques mathématiques.

La question de savoir s’il y a, oui ou non, un Code dans la Bible ne date pas d'il y a seulement quelques années: à la fin du XIXème, début 20ème siècle, un scientifique du nom d'Yvan Panin exhuma les découvertes, ou, plus exactement, les intuitions du célèbre savant... Isaac Newton. Car, en réalité, Newton n’avait alors pas les moyens techniques (l’ordinateur et l’informatique!) de vérifier ses intuitions.

En quoi cela consistait-il exactement? Newton, puis Panin après lui, s’étaient aperçus que les Textes bibliques semblaient être bâtis sur des systèmes mathématiques. Certains mots, en effet, apparaissaient régulièrement, comme s'ils étaient littéralement comptés en séquences.


Comment ça marche?

L'apparition de l'ordinateur introduisit une donnée nouvelle: avec sa grande puissance de calcul, il était désormais possible de précisément compter ces intervalles de lettres. C'est ainsi que fut entrée dans un ordinateur la totalité de la Bible, contenant, pour une part, la Parole de Dieu, au sujet de laquelle Jésus a dit:

«Car, je vous le dis en vérité, aussi longtemps que le Ciel et la Terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la Loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit accompli.» (Matthieu, V, 18.)

La «Loi», c’est la «Thora». Les copistes juifs, perpétuant une antique tradition, recopiaient scrupuleusement à la main le Texte, prenant bien soin de reproduire également les traits («ïotas») qui semblaient même inutiles ou mis par erreur.

L'hébreu (et le grec) ayant un alphabet alpha-numérique (chaque lettre est à la fois une lettre ... et un chiffre!), c'est donc une suite alpha-numérique, un édifice complexe de nombres-lettres qui est entré dans l’ordinateur. C'est ainsi que furent découverts les fameux «SEL», les «Sauts Équidistants de Lettres». Usant des mots qui, dans le Texte visible, revenaient à des rythmes réguliers, totalisant leur valeur numérique, l'ordinateur commença à prélever dans le texte une lettre par-ci par-là, selon les nombres précédemment découverts. À la surprise du mathématicien israélien Eliyahu Rips et d’autres, des mots commencèrent à apparaître. Ils étaient en relation avec le Texte, et en éclairaient même le con-Texte.

Plus que cela, apparurent ainsi des événements qui, au moment où la Bible fut écrite, étaient encore loin dans le futur, mais au moment où furent découverts les Codes, étaient déjà accomplis. L’on parlait donc de « futur {déjà} accompli» et l’on pouvait donc éventuellement en conclure que: «Dieu ne permettait pas que l'on use de ces Codes pour connaître l'avenir.»

Certains scientifiques sont pour le Code, tandis que, bien sûr, d'autres sont contre, et c’est la même chose pour les religieux – en particulier, mais l'examen montre que les détracteurs du Code, qui prétendent que l'on peut en trouver dans toutes les œuvres littéraires, pourvu qu’elles soient assez longues, à juger trop légèrement, se trompent, en définitive, quand même, lourdement.

Ces Codes ont donc été mis au jour, vers 1976, par Eliyahu (Élie) Rips, grâce à l'avènement de l’informatique. Avec un ordinateur équipé d'un logiciel spécialement conçu pour l’hébreu pour la détection des Codes, toute recherche de ce genre est donc devenue possible.

Eliyahu Rips, mathématicien israélien réputé, affirme donc avoir découvert un Code secret à l'intérieur même de la Bible. Le texte caché qu'il recherche avec l’aide d’ordinateurs et de programmes appropriés serait une sorte de Prophétie totale: Tout ce qui s'est passé sur la Terre depuis l'écriture du Livre des Livres et tout ce qui adviendra y serait, avec une relative grande précision, déjà décrit.

Eliyahu Rips assure qu'il a ainsi découvert la possibilité de l'assassinat du premier ministre Rabin et de bien d'autres événements, bien avant qu'ils ne se réalisent. Alors que l'Académie des Sciences d'Israël a déjà officiellement reconnu la validité scientifique de ses travaux (bien qu’il y ait, aussi, bien sûr, des détracteurs…), Michael Drosnin, un journaliste américain renommé, lui a consacré un livre, «La Bible: le Code secret», chez Robert Laffont. L’auteur passant de l'incrédulité initiale à la plus grande fascination, ce livre est le récit d'un voyage vers l’un des plus grands Mystères de la destinée humaine.

Actuellement, il existe de nombreux logiciels pour s’adonner à de telles recherches et l’on en trouve, par exemple, à l’adresse:

http://www.biblecodecritic.com/page.php/35

En dépit de l’inévitable levée de boucliers qui a accueilli l'annonce de la découverte de Élyahu Rips, les Codes semblent bel et bien exister, n'en déplaise à certaines «grosses têtes», qui, comme d’habitude, s'accrochent encore à leurs préjugés et idées reçues. Ce rejet s'explique, pour l’essentiel, par l’habituelle domination de l’intellect sévissant, sans doute là encore plus qu’ailleurs, dans le monde dit «scientifique».

Il est, du reste, à noter que le Code fonctionne aussi, cette fois en langue allemande, dans l’Œuvre "IM LICHTE DER WAHRHEIT”, ce qui devrait aussi en interpeller plus d’un au sujet de l’Origine de cette puissante Œuvre…, de même aussi qu’au sujet du genre particulier de la pure langue allemande…

En ce qui concerne la Bible, les informations codées décrivent les grands événements passés et donnent de graves avertissements pour l’avenir. On les trouve notamment dans le Pentateuque (ou «Torah» pour les Juifs), surtout dans la Genèse, mais il en existe aussi dans certains livres prophétiques dits "inspirés" (par exemple, Ézéchiel, Isaïe et Josué).

Curieux paradoxe, de nombreux religieux rejettent les Codes, tandis que certains incroyants les acceptent.


La vie terrestre serait-elle d’origine extra-terrestre?

Henri Bergson, le «philosophe de l’Intuition» (et qui devait donc en avoir pas mal) a dit: «L'Univers est une Machine à faire des Dieux».

Dans son livre «La vie vient d'une Intelligence supérieure» Jean Sider présente diverses hypothèses relatives à l'origine extra-terrestre de la vie sur la Terre et de l'intelligence humaine. Pour ce faire, il se réfère à des données scientifiques invalidant la théorie «évolutionniste» – officiellement reconnue comme seule juste - de Darwin. Il s’est aussi efforcé de montrer qu'une intelligence inconnue disposant d'une technologie surpassant la terrienne, était à l'œuvre sur la Terre depuis des siècles, voire des millénaires, peut-être même depuis l'aube de l'humanité. Une idée partagée, depuis déjà plusieurs décennies, par de nombreux auteurs, dont Erich von Däniken, Robert Charroux, Maurice Chatelain, Jean Sendy, etc…

Après la parution de son livre, Jean Sider a écrit:

«Trois événements importants récents me confortent dans cette opinion, dont deux sont survenus quelques semaines après la sortie de mon livre en Juin 2002».

Les événements auxquels il se réfère sont les suivants:

1. Au début de l’année 2001, deux laboratoires américains spécialisés en génétique ont annoncé avoir entièrement décodé le génome de l'être humain.

Ce génome, parmi les plus de 30.000 qui le composent, possède 223 gènes qui n'ont aucun prédécesseur évolutionnaire, autrement dit, que l’on ne peut trouver dans les organismes ayant précédé celui qui est considéré.

Les rapports scientifiques les désignent sous le terme suivant: «Alien genes» [«gènes étrangers»]. Des études publiées en 2002 sont parvenues à la conclusion que ces gènes uniques sont concentrés essentiellement dans le chromosome 21.

Or, c’est précisément au niveau de ce chromosome 21 que se situe la fameuse «trisomie 21» ou «mongolisme», dont nous reparlerons un peu plus loin…

La prise de conscience de l’existence de ces 223 gènes spécifiques à l'être humain a conduit certains scientifiques à manifester une grande surprise, du style:

«C'est un fait qui va à l'encontre des actuelles théories sur l'évolutionnisme».

De plus, les découvertes faites indiquent aussi qu'il n'y a qu'une seule source d'ADN pour toute la vie sur Terre.

Ces informations ont notamment été publiées dans les sérieuses revues scientifiques «Nature» et «Science».

2. Au mois d’Août 2002, une équipe de généticiens américains aurait identifié le gène humain du langage.

De plus, il est précisé que ce gène n’aurait été ajouté que relativement récemment (à l'échelle, bien sûr, du temps de l'existence de l'être humain aujourd’hui connue).

Cette information n'aurait pas encore été publiée dans des revues scientifiques. Elle a, toutefois, été rendue publique dans un numéro du très sérieux New York Times, journal qui n'aurait pas pour habitude de donner dans le canular.

3. Peu de temps après, est paru, toujours aux États-Unis, le second livre de Michael Drosnin, déjà cité plus haut.

L'auteur, ayant eu connaissance de la découverte selon laquelle le gène du langage était découvert, a, bien sûr, eu l'idée de la rechercher dans les Codes bibliques. Les résultats obtenus et vérifiés par Eliyahu Rips sont, paraît-il, surprenants.

En voici un résumé (fait par Jean Sider):

Le gène du langage aurait été donné à l'être humain, tout comme le code génétique, qui, entre parentheses, lui aussi, est un “code”...

L'ADN de la vie sur Terre serait venu dans un «véhicule». Une grille cite même cette phrase: «Une copie de tout a été apportée».

Plusieurs grilles reproduites laissent apparaître les mots ou expressions suivants, dont certains s'entrecroisent: «véhicule d'acier» et «forcé d'atterrir», «l'Extra-terrestre est un homme» et  Seigneur du Code», «Je placerai le gène du langage» et «Je rendrai intelligent», etc..

Toutes ces données vont dans le même sens. Elles tendent à montrer que l'«évolutionnisme» darwinien, concept philosophique élaboré en dogme scientifique par de nombreux «hommes de science» officiels, est, en fait, une hérésie scientifique.

Le but de ceux qui l’ont promu en dogme était de s’opposer au «créationnisme» de l’interprétation biblique littérale, elle aussi dogmatique. Toutefois, l’on sait, en fait, depuis longtemps que l'évolutionnisme de Darwin n'est plus scientifiquement défendable. Ce qui n'empêche nullement la science officielle de persister à vouloir l'enseigner dans les écoles et les universités et de le présenter comme une loi de base, qu'il n'est pourtant pas, et de loin.

De plus, ces nouvelles données donnent à penser que la vie aurait été importée sur la Terre par des Extra-terrestres. Or, il est, à ce sujet, opportun de rappeler qu'il y a trente ans, au moment où Eliyahu Rips découvrait les Codes bibliques, le découvreur de l'ADN, Francis Crick, prix Nobel en 1962, publiait un étonnant article dans la revue « Icarus ». Dans son texte, il soutenait déjà que l'ADN avait été apporté sur Terre par des Extra-terrestres. C'est sa fameuse théorie de la «panspermie dirigée».

À l'époque, son hypothèse avait l'air de sortir d'un audacieux roman de délirante science-fiction, d'autant qu'en 1998 il allait encore plus loin. En effet, questionné par Michael Drosnin, il lui affirmait carrément que toute la vie sur Terre a été amenée dans un vaisseau spatial. Cette histoire rappelle, bien sûr, celle de l’Arche de Noé, en laquelle se trouvait rassemblée, sous forme de couples animaux, toute la richesse génétique de la planète Terre…

Aujourd'hui, à la lumière de ce qui a été exposé ci-dessus, l’on s'aperçoit que Francis Crick était, peut-être, déjà sur la bonne voie, et qu'il avait pressenti comme un visionnaire, ou - mieux dit - comme un précurseur.


Les règles de crédibilité du Code

Les informations codées dans la Bible ou dans l’Enseignement Universel, pour être crédibles, doivent obéir aux trois règles suivantes:

1. Chaque mot-clef doit comporter un minimum de trois lettres séparées de manière équidistante (Il est clair que deux lettres ne donnent que des mots insignifiants). Plus le nombre de lettres équidistantes est grand – autrement dit, plus le mot formé est long -, et plus la probabilité que ce soit le hasard qui en soit la cause diminue. De plus, plus les sauts équidistants sont courts (en dehors, bien sûr, des mots du Texte linéaire lui-même, dont les lettres ont un «saut» de … 1!), plus la «signifiance» du mot s’accroît...

2. Chaque grille comportant un mot-clef doit contenir, au minimum, un «mot-satellite» d'au moins trois lettres équidistantes en rapport avec le sujet évoqué par le mot-clef. Plus le nombre de ces mots-satellites est grand, plus les probabilités qu’il ne s’agisse que de hasard s'éloignent. En outre, plus le mot-clef principal et ses mots-satellites se croisent ou sont proches dans une grille restreinte, plus leur pouvoir de signification augmente.

3. Chaque mot-clef et ses mots-satellites doivent se trouver codés dans des passages «en clair» (ceux du Texte principal) exprimant des idées analogues ou symboliques plus ou moins en relation avec le sujet codé.

Si ces trois conditions de base sont réunies, alors l’on peut dire que le «hasard» (au sens « païen » du concept) n'a plus aucune place dans le complexe de mots signifiants ainsi découvert.

Des «intellects forts» ont prétendu que l'on pouvait trouver n'importe quoi dans les Codes, y compris le bottin mondain ou la recette du canard à l’orange. Cela reste à prouver. Ils ont dit aussi que l'on peut trouver un mot-clef codé dans des œuvres aussi profanes que Le Docteur Jivago ou Les aventures de Tintin (en hébreu, bien sûr!). Cela peut arriver pour certains mots très courts, de deux ou trois lettres, mais l’on n'y localise pas de mots-satellites s'y rapportant, et le présumé mot-clef n'est alors jamais en rapport avec le sujet en clair où il se trouve caché.

D'après Eliyahu Rips, les chances pour que les grilles proposées par Michael Drosnin soient le résultat du hasard ont été calculées de 1 sur 50.000 à 1 sur plus de 1.000.000. D'une façon générale, les opposants les nient parce que leur univers conceptuel est borné par des idées préconçues que, par paresse d’esprit ou domination de l’intellect (les deux allant de pair) ils ne veulent pas se remettre en cause.

Pourtant, le fait que la Bible obéisse à une logique «mathématique» particulière (répétitions du nombre des occurrences, etc…), basée sur le Chiffre 7 – celui de la Volonté - a déjà été montré dans le passé. Il est, en effet, déjà bien connu que c’est le «Livre aux 7 Sceaux» et qu’il y a donc sept niveaux de profondeur à atteindre… Alors, pourquoi n’y aurait-il pas, encore en plus, un Code?

Le chercheur désireux d’en savoir plus sur cette découverte aux vastes implications peut se documenter dans les livres de Michael Drosnin. D'autant plus que s’y trouve mentionné, à court terme, un sombre avenir pour l'humanité, mais qui peut encore être infléchi dans un sens moins tragique, à condition de s'y prendre à temps et d'y mettre le prix. Ce qui se passe depuis plusieurs décennies au Moyen-Orient donne totalement raison aux sévères mises en garde résultant de la mise en lumière des Codes bibliques. Si rien n'est fait pour endiguer l'escalade de la violence dans cette région du monde terrestre, les Codes affirment que l'humanité se dirigerait alors rapidement vers «la fin des jours».

Et Jean Sider de conclure:

«Espérons que l'on ne parviendra pas à une telle extrémité. Quoi qu'il advienne, la conclusion qui s'impose concernant ces récentes découvertes est la suivante: Par notre génétique, «NOUS SOMMES TOUS DES EXTRA-TERRESTRES!»


Des gènes bien … gênants!

Les 223 «gènes étrangers» pourraient-ils, quand même, provenir de la Terre?

Après ce préambule relatif au Code de la Bible, concentrons-nous, maintenant, sur les gènes du génome humain.

Le biologiste Dobzhansky (1900-1975) a dit: «Rien n’a de sens en biologie, si ce n’est à la lumière de l’évolution».

Du point de vue de l’Évolution, considérons donc la suite…

Et, tout d’abord, l’hypothèse la plus simple, déjà évoquée plus haut:

Au cours de la progression de l’évolution depuis la bactérie aux invertébrés (tels que les lignées de moisissures, vers, mouches, etc., qui ont été déchiffrées), puis aux vertébrés (souris, chimpanzés) et finalement jusqu’aux êtres humains, ces 223 gènes sont complètement manquants au cours de la phase invertébrée.

Certains scientifiques ont alors dit: «Les 223 gènes étrangers trouvés dans le génome humain viennent, par «transfert horizontal» (et non vertical, c’est-à-dire en suivant le fil normal de l’évolution) de bactéries procaryotes» (des bactéries sans noyau mais avec chromosome). Pourtant, l’analyse du génome humain, pour lequel il a été suggéré que 223 gènes humains auraient une origine procaryote (le terme «procaryote» - du grec «pro», «avant» et «caryon», «noyau» - est d'abord une référence à une structure cellulaire particulière, sans noyau ni autres organites, s'opposant à «eucaryote») récente, impliquant que les transferts horizontaux de gènes auraient eu lieu durant l’histoire des vertébrés. Des analyses phylogénétiques détaillées ont, toutefois, montré que la plupart des transferts horizontaux de gènes ont eu lieu beaucoup plus tôt dans l’évolution et qu’en fait très peu, voire aucun, des gènes humains n’ont une origine procaryote récente.

Pour certains auteurs (dont Zachariah Sitchin), le transfert ne s’est, d’ailleurs, pas fait de la bactérie à l’être humain mais, en sens inverse, de l’être humain à la bactérie…
En effet, une analyse des fonctions de ces gènes à travers les protéines qu’ils épellent - analyse publiée dans le journal «Nature» - a montré qu’ils n’incluent pas seulement des protéines impliquées dans d’importantes fonctions physiologiques mais aussi dans des processus interagissant aussi le domaine psychique. De plus, il sont responsables d’importants enzymes neurologiques qui proviennent uniquement de la portion mitochondriale de l’ADN appelé «ADN Éve», que l’humanité aurait hérité uniquement par la lignée maternelle, le chemin entier remontant jusqu’à une unique «Ève». Cette découverte, à elle seule, soulève un sérieux doute en regard de l’explication faisant intervenir une «insertion bactérienne».

Comment les scientifiques pourraient-ils être sûrs que des gènes aussi importants et complexes que ceux-là et constituant un immense avantage, aient été reçus par nous, de façon «tout à fait récente», grâce aux bons offices d’une bactérie infectieuse?

L’on est donc confronté à une sorte de «saut quantique», dont ne rendent pas compte les habituelles théories de l’évolution.

«Nous n’avons pas identifié de source bactérienne préférée pour le supposé transfert horizontal de gènes» est-il dit dans le reportage de la revue «Nature».

Une équipe de recherche a découvert que 113 gènes sur les 223 sont «très répandus parmi les bactéries» bien qu’ils soient entièrement absents même du monde des invertébrés. Une analyse des protéines par lesquelles s’expriment les mystérieux gènes a montré que sur 35 protéines identifiées seulement 10 ont des contreparties dans le règne des invertébrés. 25 protéines sur les 35 étaient spécifiques aux êtres humains. D’un point de vue strictement scientifique, il demeure donc impossible de prouver si le transfert s’est effectué de la bactérie à l’être humain ou de l’être humain à la bactérie…

Mais si les 223 gènes – décidément bien gênants - sont bel et bien «étrangers» à la Terre, ils ne peuvent donc, en bonne logique, n’avoir qu’une origine extra-terrestre…


Caractéristiques du génome humain

Une fois le génome humain décodé, la réelle première grande surprise des scientifiques fut, tout d’abord, le petit nombre de gènes découverts dans le génome humain.

La traditionnelle définition du gène est qu’il représente les instructions nécessaires pour produire un type de molécule protéinique. Naturellement, les organismes complexes sont supposés avoir davantage de gènes que de simples organismes. Par exemple, le minuscule ver annelé, mesurant moins d’un millimètre de long, possède pas moins de 19.000 gènes capables de coder les protéines et encore 800 autres pour coder d’autres fonctions. Bien évidemment, le génome humain serait supposé être beaucoup pus étendu.

Pendant des années - lorsque l’on ne le connaissait pas encore - le nombre de 100.000 gènes a souvent été avancé. Mais, lors d’une première grande conférence scientifique sur le sujet, l’estimation s’étendait, tout d’abord, entre 25.000 et 40.000 gènes seulement. L’idée que l’ADN des êtres humains contient, tout au plus, deux fois autant de gènes qu’un vermisseau, semble ridicule à l’extrême. Coup dur pour le vaniteux intellect humain!

Un scientifique a remarqué que le vermisseau en question «ressemble à un minuscule calmar dépourvu de forme avec aucun complexe anatomique allant au delà de sa génitalité». La mouche commune, par comparaison, avec plus de cellules dans ses yeux à facettes que dans le vermisseau entier, a seulement 13.000 gènes.

En outre, la minuscule plante moutarde en contient 26.000, peut-être (presque) autant qu’un être humain…

De ce point de vue, nous serions à peine supérieurs à une vulgaire plante de campagne…

Une inévitable conclusion s’impose: Les différences physiques et comportementales entre les espèces ne se résument pas à une simple question de nombres de gènes…

D’où, émanant de scientifiques, les réflexions suivantes:

«Il est clair que nous, les êtres humains, ne gagnons pas notre indubitable complexité par rapport aux vers ou aux plantes uniquement par le fait que nous utiliserions plus de gènes…»
«Ce qui nous rend humains ne peut pas être défini par l’observation d’un génome.»

“Le défi auquel nous faisons face n’est rien de moins que de comprendre comment ce comparativement petit jeu de gènes peut rendre compte de la diversité des phénomènes et des caractéristiques que nous voyons dans la vie humaine.»

“La recherche relative à ce qui fait d’un être humain un être humain continuera, mais il semble maintenant improbable que ce soit les séquences à l’état brut du génome qui le révèleront.»

«Les organismes vivants doivent être expliqués en tant qu’organismes, et non en tant que somme de gènes.»

«Il y a là une vaste Intelligence {ayant conçu cela}.»

«La symphonie humaine, en d’autres termes, consiste presque entièrement en de vieux accords volés aux autres travaux. Uniques sommes-nous, mais pas faits de fragments uniques.»

En résumé:

«Bien sûr, nous ne pouvons pas répondre à la question «Qu’est-ce que l’homme?» en regardant le génome, mais nous voyons, quand même? dedans, la Main de Dieu.»


La mystérieuse Cosmogonie des Dogons

Le moment est maintenant venu de nous intéresser à un peuple particulier dont l’étonnante Cosmogonie peut difficilement s’expliquer en dehors d’un contact extra-terrestre…

«Dogons» est le nom d'un peuple d’agriculteurs vivant sur le plateau desséché de Bandiagara dans l’actuel Mali et qui, dans leur tradition, font état d'une cosmogonie tellement fantastique qu'elle semble tout droit sortir de l’aventureux roman d’un échevelé auteur de science-fiction…

Le Pays dogon compte, aujourd’hui, 700.000 habitants et couvre une vaste région de 50.000 kilomètres carrés, qui s’étend - à l’Est - de la frontière du Burkina Faso jusqu’aux - à l’Ouest - environs de Sévaré. Il s’étire tout le long de la falaise de Bandiagara, longue de 150 kilomètres et parfois haute de 300 mètres.

Le peuple dogon est originaire des Monts mandingues, à la frontière guinéo-malienne. Animistes, ils ont refusé de se convertir à l’Islam et ont dû s’exiler au XVIIIème siècle, remontant le fleuve Niger jusqu’aux reliefs protecteurs du plateau et de la falaise de Bandiagara. Les Dogons y ont reçu un important héritage culturel du peuple qui vivait alors dans la falaise et qui a, depuis, mystérieusement disparu, les Tellems, soit, en langue dogon, «Ceux que nous avons trouvés».

C'est donc pour fuir l'Islamisation qu’il y a quelques siècles les Dogons sont venus à Bandiagara. Ils y ont trouvé les Tellems (ou «Thélèmes»), une tribu dont les tout petits membres étaient de la taille des Pygmées. Les habitations des Thélèmes, plus petites, sont encore visibles dans la paroi rocheuse. Les Dogons, de stature pour nous «normale», ont construit leurs propres cases, un peu plus bas, mais assez haut, quand même, pour se protéger des animaux sauvages. Aujourd'hui, les champs de mil ont remplacé la jungle.

Selon les anciennes croyances des Tellems dont les Dogons ont hérité, une Étoile se trouve au Centre de l'Univers. Elle est la première créée par Dieu. «Po Tolo», c'est son nom, - par la science nous le savons aujourd’hui –, existe bien mais est invisible à l'œil nu. Et pourtant, lorsqu’ils en parlent, les Dogons la situent près de Sirius, une autre étoile bien connue, car l'une des plus brillantes du firmament. Po Tolo signifie «la plus petite chose qui soit». Comment les Dogons, «peuple primitif » dépourvu de toute base scientifique et de technologie de pointe, peuvent-ils connaître l'existence d'une étoile qui, à l’œil nu, ne se voit pas?

Selon eux, c'est un peuple venu d'une autre planète qui leur aurait donné ces informations sur l'Univers.

Pour les «scientifiques» rationalistes occidentaux, les Dogons auraient appris l'existence de Po Tolo par un voyageur-ethnologue européen au début du XXème siècle. Mais les Dogons parlent leur propre dialecte. Difficile alors d'imaginer une discussion scientifique poussée entre un Dogon et un aventurier sur le calcul de l'orbite d'une étoile naine... Et invisible ! Cela n'empêche pas que les Dogons en aient fait, depuis longtemps, bien avant la visite de l’ethnologue, le centre de leur Univers!

Examinons, plus en détails, comment toute cette étrange histoire a commencé:

Ce sont deux ethnologues français, Marcel Griaule et Germaine Dieterlen qui, après avoir été initiés par un prêtre Dogon en 1946, après quatre années d'enquêtes, publièrent en 1951 une étude dans le journal de la «Société des Africanistes» sous le titre: «Un système soudanais de Sirius», suivi d'un ouvrage intitulé «Le renard pâle» sous-titré «Le mythe cosmologique, travaux et mémoire de l'Institut d'Ethnologie à Paris». Dans ces ouvrages ils firent le récit de ce que leur fut dévoilé par ce prêtre dogon sur la vision de l'Univers par les Dogons, et ce qu'ils racontèrent alors, était tellement extraordinaire que personne ne voulut les croire.

Tout d'abord, ces Dogons affirment connaître depuis longtemps deux étoiles compagnes de Sirius, qui est l'étoile la plus brillante du ciel. Mais à l'œil nu, l’on ne peut apercevoir qu'une seule étoile et ce n'est qu'en 1862 que, l'astronome américain Alvan Clarke découvrit, grâce à un puissant télescope, la seconde étoile, qui fut alors nommée: «Sirius B».

Cependant, les Dogons, eux, affirment qu'il existe une troisième étoile, que nous pourrions nommer «Sirius C», et, surtout, ils assurent que leurs ancêtres seraient précisément venus, il y a des millénaires, d'une planète en orbite autour de cette troisième étoile, que nous ne connaissons pas encore.

Voyons, maintenant, plus en détail ce que disent les Dogons sur Sirius et ses voisin(e)s. Ils affirment que Sirius possède d'abord un compagnon plus petit et surtout plus lourd qu'ils nomment «Po-Tolo» ou «Po-Digitaria», du nom d'une graine de céréale, africaine très petite et très lourde qu'ils utilisent régulièrement. Mais surtout les Dogons savent que Sirus B donc «Po-Tolo» boucle son orbite elliptique autour de Sirius A en 50 ans et c'est pour cela que ces Dogons célèbrent, tous les cinquante ans, la «fête de Sigui», dont les cérémonies visent à régénérer le Monde, d'où son importance, sans doute, pour que les récoltes soient bonnes.

Or c'est d'abord l'allemand Bessel qui fut le premier, en 1844, à soupçonner l'existence de cette 2ème étoile, pour expliquer les insolites oscillations du mouvement apparent de Sirius A, alors que l'orbite théorique de cette étoile Sirius B - on le sait, invisible à l'œil nu - fut calculée par Peter en 1851 et que sa période de révolution fut précisée par Van Den Bas, en 1960, comme étant exactement de 50.090 ans. Or, si l’on fait abstraction des décimales, les Dogons, eux, le savaient déjà. Alors, comment les Dogons ont-ils su que la période de révolution de Sirius B était justement de 50 ans? Mystère!

Cette étoile Sirius B est ce que l'on appelle une «naine blanche». Elle est plus vieille que Sirius A, mais ne mesure que 30.000 Km environ de diamètre, donc à peu près deux fois et demi celui de notre Terre et sa densité est de 50.000 alors que sa masse atteint 90 % de celle de notre Soleil. Mais que dire de cette troisième étoile Sirus C, que les Dogons affirment connaître? Ils la nomme «Emma Ya» ou «Sorgo» ou encore «L'étoile des femmes» et ils disent que cette étoile a une période de révolution de 32 ans autour de Sirius A, sur une orbite elliptique très excentrique et qui est - et cela est d’une précision tout à fait notable - perpendiculaire à celle de Sirius B. Les Dogons, qui, par culte ou culture, ont dessiné ces orbites sur leur objets précieux, affirment surtout que Emma Ya possède plusieurs planètes en orbite autour d'elle et que c'est de l'une de ces planètes que sont venus leurs ancêtres, il y a très longtemps, à bord du « Nomo », vaisseau inter-stellaire, dont la forme et le comportement ressemblent beaucoup à ceux de la fusée lunaire «Apollo».

En ce qui concerne les recherches des astrophysiciens sur cette étoile Sirius C, dans une revue «Astronomy & Astrophisics» de l’année 1991, les astronomes Jean Marc Bonnet-Bidaud et Cécile Gry disent qu'ils en soupçonnent l'existence par suite de la constatation d'un changement de couleur du système, à travers les ages, et pensent que cet hypothétique troisième compagnon de Sirius pourrait bien avoir une orbite très aplatie comme une comète et, après analyse grâce à un coronographe occultant la lumière aveuglante de Sirius A, ils ont sélectionné deux d'entre ces corps voyageurs sans arriver encore à déterminer lequel de ces astres montre le même mouvement propre que Sirius. Cependant, dès les années 1920, une demi-douzaine d'astronomes rapportèrent l'observation d'une 3ème étoile très faible susceptible d'appartenir au système, mais aucune confirmation n'a pu en être donnée jusqu'ici.

Les derniers travaux menés par les astronomes Jean-Louis Duvent et Daniel Benest de l'observatoire de Nice, qui utilisèrent des simulations numériques d'ordinateurs, semblent renforcer l'hypothèse de l'existence du 3ème corps d'une masse très faible, de 0,5 fois au plus la masse solaire et de magnitude apparente de 5 à 10 fois plus faible que Sirius A. (Voir, à ce sujet, la revue «Ciel et Espace» d'Août 1995, article d'Olivier Fèvre intitulé« L'énigme de Sirius » et aussi l'article «Les étoiles du sacrifice» de Serge Jodra, dans le numéro 331 de Mai 1996.)

Les Dogons ont, en outre, aussi, d'autres connaissances astronomiques toutes aussi étonnantes de la part d'une tribu arriérée qui vit au centre d'Afrique et pratiquement sans contact extérieur. Ils connaissent les différentes phases de Vénus, qui sont à peu près analogues à celles de la Lune, et ils ont donné six noms différents aux divers aspects que présente, d'après eux, cette planète comme s'ils avaient su comment faire pour l'observer de l'extérieur. D'autre part, ils divisent le Ciel en 22 parties égales et en 266 constellations et ils disent aussi que Vénus possède un compagnon, qui pourrait, sans doute, être l'astéroïde Toro, récemment découvert entre la Terre et Vénus. Ils connaissent aussi les quatre plus gros satellites de Saturne pourtant invisibles à l'œil nu, mais, alors qu'ils connaissent les compagnons stellaires de Sirius, ils ignorent cependant les planètes au-delà de Saturne, donc Uranus, Neptune et Pluton. Il ressort donc de telles constatations que les Dogons n'ont pas pu acquérir leurs connaissances par eux-mêmes (sinon ils connaîtraient Uranus, Neptune et Pluton avant de savoir ce qui se passe dans Sirius!) et ils ne peuvent en avoir eu qu’une révélation.

Alors, qui leur a enseigné ce qui se passe dans la constellation de Sirius, si ce n’est des «initiateurs cosmiques»?

Les Dogons affirment aussi que tout l'Univers tourne en spirale conique et qu'il a été créé à partir d'un noyau central par la «Voix» d'AMMA leur Dieu suprême, ce que l’on peut rapprocher de ce qui est dit dans la Bible, lorsqu’il est dit dans la Genèse: «Au Commencement était le Verbe». Pour eux, l'Univers est «infini», mais cependant «mesurable», ce qui montre qu’il est plutôt «indéfini» qu’«infini» et rejoint les théories d'Albert Einstein. De plus, ils croient que les mondes infinis s'éloignent de nous à des très grandes vitesses, en un mouvement spiralé, donc par une combinaison de translations et de rotations, combinaison qui se retrouve aussi bien disent-ils dans les structures élémentaires infiniment petites que dans celles infiniment grandes et nous voyons là qu'ils anticipent ainsi sur les conclusions les plus modernes concernant l'expansion et la structure de notre Univers gros-matériel.

La tradition des Dogons, que raconte le prêtre Ogotemmeli, dit aussi que leurs ancêtres étaient des «amphibiens» (d’un point de vue biologique, la classe des amphibiens – anciennement appelés batraciens - est une classe de vertébrés, intermédiaire entre les poissons et les reptiles dans la conquête de la vie terrestre) et c'est pour cela qu'ils célèbrent l'anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de «Jour du Poisson» et cela fait penser à la tradition sumérienne, qui parle d'Oannes, l'homme-poisson apparu, à plusieurs reprises, sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les êtres humains.
Le «Nomo», lorsqu’il a atterri au Nord-Est du pays, dans un tourbillon de poussière, était rouge comme le feu, puis il fut traîné dans une dépression remplie d'eau et il put ainsi flotter. Puis des astronautes amphibiens sortirent de la capsule. D'ailleurs, l'eau joue un grand rôle chez les Dogons, qui considèrent que l'eau douce est de genre masculin tandis que l'eau de mer est de genre féminin, que cette eau est la force vitale de la terre, force qui se trouve même à l'intérieur de la pierre car l'humidité est partout. « Nomo », qui désigne aussi le Commandant du vaisseau, est descendu sur la Terre, porteur de fibres végétales tirées des plantes qui poussaient déjà dans les «Champs du Ciel» et, après avoir créé la terre, les plantes et les animaux, il créa le premier couple humain, qui engendra par la suite, les huit grands ancêtres de l'Humanité. Sa tâche terminée, Nomo aurait regagné «le Ciel».

Ceci se rapproche - on le voit - de nombreuses histoires connues, et l’on découvre ici que les Dogons savent qu'il existe des Terres cultivées ailleurs, dans le ciel, alors qu'il y a encore peu, en 1772, certains «savants», dont le grand chimiste Lavoisier, pensaient que «les météorites ne peuvent pas tomber du ciel», car, d'après eux, «il n'y a pas de pierres dans le ciel». Mais ce sont les révélations sur l'eau, que raconte le prêtre dogon, qui sont encore plus surprenantes, lorsque l’on sait que la science actuelle n'a que récemment découvert la possibilité d'obtenir de l'eau à partir de la roche du sol, en voulant optimiser les possibilités de survie des hommes qui pourraient séjourner sur la Lune pour de longues périodes et cela en extrayant de ces pierres lunaires, à l'aide de procédés très pointus et onéreux, l'hydrogène et l'oxygène à l'origine des molécules d'eau.

Les extra-ordinaires connaissances cosmiques des Dogons, nous interpellent fortement, et l’on se demande encore comment, sans microscope ni télescope ni «mathématiques supérieures» ni rien de semblable, ils ont pu arriver à savoir tout cela. Et l’on peut, à partir de ce constat, alors émettre l'idée que le passé de notre planète Terre est bien plus riche d’enseignements et de surprises que celui que présente les plus ou moins grandes ou hautes écoles de cette humanité.

Si les Dogons n’ont pu eux-mêmes trouver cette connaissance, c’est qu’elle leur a été enseignée. Oui, mais, quand, comment et, surtout, par qui?


La «panspermie dirigée»: la vie inséminée sur Terre

L'hypothèse de Francis Crick:

Francis Crick, le bien connu biologiste (et physicien) britannique, est l'un des plus grands savants du XXème siècle. On lui doit, en effet, la découverte, en 1953, avec son confrère américain James Watson, de la structure en forme de double hélice de l'ADN (acide désoxyribonucléique), découverte révolutionnaire s’il en fût, qui allait bouleverser toute notre compréhension du Monde vivant.

Mais Crick ne resta pas sur cet acquis et ses lauriers (le prix de Nobel de médecine et de physiologie de 1962) et il publia, en 1981, un remarquable ouvrage, «Life itself» (paru en français sous le titre «La vie vient de l'espace»), dans lequel il présente une nouvelle hypothèse spectaculaire et innovante: la vie terrestre a{urait} été inséminée sur la Terre par une civilisation extra-terrestre. C'est l'hypothèse de la «panspermie dirigée», sur laquelle il a travaillé, à partir de 1972, avec le biochimiste britannique Leslie Orgel.

L’intérêt, avec Francis Crick, c’est que la chose est ici envisagée d’un point de vue scientifique et biologique, différent de l’«archéo-astronomie» interprétative des Robert Charroux, Jean Sendy, Brinsley Le Poer Trench et autres Erich von Däniken…
Cette idée de germes de vie transportés jusqu'a la Terre dans des vaisseaux spatiaux automatisés a donc, le plus sérieusement du monde, été proposée ou reprise par Crick, le fameux prix Nobel, co-découvreur de l'ADN, dans son livre «Life itself» [Traduction littérale: «La vie elle-même»].

Comme toutes les nouvelles hypothèses dérangeantes, celle de Crick a, bien sûr, été raillée par toute une bonne partie de la communauté scientifique conservatrice, ne voulant même pas prendre en compte l'envergure innovante de son auteur – ayant, pourtant, déjà fait ses preuves reconnues par tous - et la puissance de sa réflexion. L’on retombe toujours dans un assez misérable anthropo-géo-centrisme, qui a la vie plutôt dure.

L'hypothèse de Crick est-elle impossible? Pas du tout, elle est seulement nouvelle et non encore assise sur d’irréfutables preuves. Elle est même, au contraire, très stimulante. Le fait que, d'après Crick, la vie aurait pu être sciemment ensemencée sur la Terre semble une plausible éventualité si l'on place la vie, et surtout la conscience, à un échelon supérieur à celui atteint par l'être humain terrestre en à peine quelques dizaines de milliers d'années, depuis l'arrivée de l'«Homo sapiens» (lequel doit encore faire la preuve de sa présumée sagesse) comme principale créature du monde vivant gros-matériel terrestre.

D'après Crick et Orgel, la vie terrestre ne serait pas originaire d'une «soupe primitive» terrestre, mais elle aurait été expédiée « sur place » par une lointaine civilisation, en des temps fort reculés, sous forme de bactéries congelées. Nous serions donc, en fait, les descendants d'extra-terrestres, origine qui ne devrait logiquement pas vraiment effrayer les astro-physiciens qui étudient la vie dans le cosmos et, en particulier, ceux qui adressent des messages à nos «cousins de l'espace», en espérant une prochaine réponse…

Crick, en tant que physicien (qu'il est aussi - il ne faut pas l'oublier -) et en biologiste essaye de répondre à l'une des questions philosophiques qui taraude, depuis des lustres, bon nombre de bons esprits humains, d’un point de vue certes déjà spirituel mais aussi terrestre: «D'où venons-nous?».

Il a donc repris une vieille idée du physicien italien Enrico Fermi (1901-1954), qui fut, comme Crick, un brillant et inventif scientifique. Fermi, qui était partisan de la pluralité des mondes habités, était convaincu qu'une civilisation avancée, parvenue au terme de la maîtrise de son environnement planétaire, était obligée d'envisager la conquête du monde extérieur, à voyager dans l'espace et, avec le temps nécessaire (des millions d'années, des milliards peut-être), devait avoir essaimé à travers toute la Galaxie.

Un examen attentif des planètes disponibles et accueillantes devait obligatoirement, à terme, déboucher sur la reconnaissance de la Terre comme un havre possible, avec ses multiples avantages: entre autres, abondance de l'eau et de composés organiques, température quasi idéale pour de nombreuses formes de vie.

L’on connaît la célèbre question de Fermi:

«S'il existe quelque part dans la Galaxie des êtres intelligents, pourquoi ne sont-ils donc pas encore ici? Ils devraient être déjà arrivés. Le sont-ils {déjà}?»

Pendant plusieurs années, Crick et Orgel ont donc travaillé sur les multiples aspects de la «panspermie dirigée». Tous deux pensent que des êtres intelligents (ils existent quasi obligatoirement dans notre propre Galaxie, sans parler des autres), dont l'évolution serait en avance de quelques centaines de millions d'années ou même plus sur la nôtre (c'est là encore une quasi-obligation, ne serait-ce que statistique), auraient ensemencé la Terre en envoyant dans l'espace des fusées ou autres moyens de transport (voiles solaires...) contenant des micro-organismes (spores). Ceux-ci totalement protégés au cours de leur voyage inter-stellaire auraient pu se développer sur la Terre primitive, malgré l'obstacle important constitué par l'impactisme, qui fut probablement assez redoutable durant les deux ou même trois premiers milliards d'années du Système solaire, pour permettre à la vie de s'installer durablement.

À la question que lui ont posée certains de ses détracteurs concernant la raison qu'auraient eu des créatures intelligentes d'essaimer dans la Galaxie, Crick a répondu qu'une civilisation avancée aurait pu entrevoir la menace de se voir totalement ou partiellement anéantie par un cataclysme naturel (explosion d'une étoile proche par exemple) et de privilégier la survie, sinon de la civilisation, tout au moins de la vie de leur race. Ne disposant peut-être pas des moyens de s'enfuir eux-mêmes dans l'espace, les membres de la civilisation auraient choisi d'envoyer les fameux micro-organismes dont Crick pense que nous sommes peut-être les (très lointains) «descendants».

Science-fiction que tout cela? Pas forcément. Crick considère son hypothèse, à juste titre selon nous, comme scientifique, et donc plausible. Dans son livre, il explique en détail toutes sortes de scénarios possibles concernant le transfert de bactéries d'une planète à une autre. Il rappelle aussi qu'une seule bactérie extra-terrestre peut ensemencer une planète stérile et qu'elle peut voyager plus de 10.000 ans dans l'espace sans dommage particulier. Pour un long voyage, Crick postule pour des bactéries congelées vivantes, que l'on pourrait placer, par milliards, dans un espace extrêmement réduit (mini-container de quelques centimètres cubes seulement). La plupart de ces bactéries devraient survivre à la décongélation et donc proliférer et se diffuser rapidement, surtout si elles atterrissent dans un océan pré-biotique.

Crick et Orgel ont montré comment la vie peut être inséminée sur Terre à partir de l'espace. La réciproque est, bien sûr, vraie. Il viendra probablement un jour où ce sera à l'être humain de la Terre d'envisager sérieusement, à son tour, l'ensemencement de planètes voisines ou plus lointaines. La conclusion semble claire: la vie peut être transférée par une succession de civilisations, d'une étoile à une autre, quasiment partout. L'éventualité que nous pourrions être seuls dans l'Univers paraît d'une affligeante naïveté, face à l'universalité de la vie mise progressivement en évidence par les «exo-biologistes».


La Trisomie 21

Bon!, dira-t-on, c'est bien joli cette belle histoire de «panspermie dirigée», mais y a-t-il d’autres preuves biologiques que les êtres humains de la Terre soient «à moitié extra-terrestres»? La réponse est oui! Et même une puissante preuve présente dans notre propre bagage génétique, plus précisément dans la paire de chromosomes 21. Les scientifiques ont eux-mêmes adopté le terme de «gènes étrangers» pour définir ces 223 gènes controversés. Après avoir réfléchi là-dessus, vous ne regarderez peut-être plus une personne atteinte de mongolisme (nom populaire de la « trisomie 21) de la même manière.

Le mongolisme n'est, à proprement parler, pas à considérer comme une maladie mais plutôt – de notre point de vue -, par rapport à la norme, comme une anomalie génétique causée par la présence de 3 chromosomes, au lieu de 2, sur la 21ème paire du génome humain. Cette anomalie se constate par un phénotype (ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, physiologiques, éthologiques caractérisant un être vivant donné) différent sur le sujet affecté. Plus précisément, ce que l’on appelle le phénotype «mongol»... Mais en étudiant la littérature scientifique existante sur les premiers êtres humains existant avant l'«Homo Sapiens» l’on peut constater que les chercheurs envisagent l’existence d’un type physique mongol. Le simple fait qu'une personne atteinte de mongolisme ait un génome humain différent implique, de fait, l’existence d’une «espèce» différente des autres!

Le mongolisme apparaît alors comme l’indication de ce qu'était l’être humain de la Terre avant la modification génétique qui l’a fait devenir «Homo Sapiens». Le gène du mongolisme est le lointain reliquat de ce que les Terriens étaient avant que des «intervenants extérieurs» mettent, dans le patrimoine génétique humain-terrien, leur «grain de sel» ou plutôt leur «grain d'ADN»!

Le premier médecin à avoir scientifiquement appréhendé le mongolisme a donc remarqué la ressemblance des êtres humains affectés par lui avec le type humain présent en Mongolie...

L’on peut considérer le mongolisme comme un fragment de l’actuel génome humain-terrien, de ce qu’il était avant d'être «amélioré» par «d’autres», c’est-à-dire par une intervention extra-terrestre. Un peu comme dans l'expérience des petits pois du moine Mendel, le premier découvreur des lois de l’hérédité. Le petit pois foncé des générations antérieures peut, lors des reproductions, ultérieurement réapparaître même chez des petits pois tout blancs… En bref, un actuel «mongolien» (il ne s’agit pas ici des actuels habitants de la Mongolie!) serait une sorte d’«Homo Antecessor» (l’«Homo Antecessor» correspond, dans le processus d’hominisation, à l’étape antérieure existant avant l’«Homo Sapiens» et l’«Homme de Néanderthal»).

Pour la science, pour l'instant, il est impossible de comprendre comment se produit ce déséquilibre chromosomique. Plusieurs hypothèses ont été avancées, mais aucune n'a pu, à ce jour, être confirmée. Ce que l’on sait c’est que, dans l'ensemble de la population, environ 1 enfant sur 700 naît avec une trisomie 21, ce qui est, tout de même beaucoup, de sorte que tout un chacun a, à un moment ou un autre, l’occasion d’en rencontrer autour de lui.


Notre mystérieux ADN

Comment les 223 gènes inexpliqués ont-ils trouvé leur chemin jusqu’à notre ADN?

Comment nous – c’est-à-dire nos esprits – sommes-nous arrivés dans les corps gros-matériels actuellement occupés?

Pour répondre à de telles questions, Zachariah Sitchin racontera qu’il y a approximativement 300.000 ans le code génétique de nos ancêtres a vraiment été «ajusté» par des visiteurs extra-terrestres à cette planète.

Nous n’allons pas, ici, reprendre le détail de la thèse de Zachariah Sitchin, auteur du célèbre ouvrage «La 12ème planète» et aussi du plus récent ouvrage, fort circonstancié, intitulé (en français) «La planète cachée à l’origine de l’humanité», qui a aussi écrit un article (en anglais) sur le sujet qui nous occupe présentement – les «alien genes» - et que le visiteur/lecteur peut découvrir en cliquant ici.

À l’appui de la thèse de Sitchin selon laquelle le code génétique humain terrestre aurait été, il y a 300.000 ans, manipulé par les «Annunakis» (lesquels ne seraient autres que les «Nephilim» de la Bible), nom signifiant» «Ceux qui sont descendus du Ciel», il y a, toutefois, les informations scientifiques suivantes:

«Récemment, au cours de deux études séparées, des scientifiques ont étudié l’ADN (mitochondrial) d’hommes et de femmes à travers le monde, dans le but les rattacher à une source commune. Leurs découvertes ont, depuis, été publiées dans plusieurs prestigieuses publications scientifiques estimées de par le monde.

Les scientifiques ont montré que l’on pouvait retracer l’origine de notre ADN jusqu’à un point remontant approximativement à 300.000 ans, au moment où existaient, par rapport à notre humanité actuelle, un «Adam» et une «Éve» originels. Apparemment, ils étaient les plus récents êtres humains, homme et femme, à être nos ancêtres directs. Il ne s’agit, bien évidemment, pas des Archétypes Adam et Éve spirituels mentionnés dans la Genèse, mais de simples reproductions gros-matérielles, ayant existé à un moment donné, pour un cycle donné, du Concept de base spirituel.

Du coup, l’on peut considérer comme tout à fait possible que les 223 mystérieux «gènes étrangers» aient leur chemin jusqu’à notre ADN en tant que le résultat d’une influence extra-terrestre…


Des gènes vraiment gênants!

Cette découverte et d’autres sources d’information soulèvent, cette fois d’un point de vue spirituel, deux bien intrigantes questions:

Comment avons-nous – c’est-à-dire, ici, nos formes spirituelles et animiques – pu pénétrer dans des corps physiques dont l’ADN contenait ces 223 gènes inexpliqués?

Que faisons-nous ici, dans de tels corps gros-matériels, sur la planète Terre?

Et, toujours, la lancinante question:

Avons-nous été manipulés par les Annunakis?

L’illustration du haut montre des représentations de l’ADN sur d’anciennes tablettes sumériennes.

L’illustration du bas montre la réalisation du premier nouvel être humain, à l’ADN modifié.

Pour les deux images: © Z. Sitchin - Reprinted with permission.

Et, encore une fois, pourquoi avons-nous si peu des gènes?

À ce sujet, Zachariah Sitchin écrit:

«“Humiliant”, tel a été l’adjectif le plus souvent utilisé par les équipes de scientifiques et les médias pour décrire la principale découverte que le génome humain ne contient pas les 100.000 ou 140.000 gènes attendus (les séquences d’ADN qui dirigent la production des acides aminés et des protéines), mais seulement un peu plus de 30.000, soit un peu plus que le double des 13601 gènes d’une mouche et à peine cinquante pour cent de plus que les 19098 gènes du ver de terre. Quelle chute du haut du pinacle de l’Arbre de Vie génétique! »
L’on peut, de plus, méditer sur le fait que, par rapport à la différence avec les chimpanzés (seulement 1%) que 1% de 30.000 cela fait 300 et que 223 gènes représentent plus des 2/3 de 300…

Cela voudrait dire qu’avant l’intervention (qu’elle vienne des Annunakis ou d’ailleurs…) ayant introduit ces 223 gènes dans notre ADN, seuls 77 gènes seulement nous séparaient des chimpanzés…

Du coup, certains en viendraient volontiers à se réjouir de la dite intervention dans notre patrimoine génétique…

Mais cela nous dit aussi que la principale différence entre un chimpanzé et un être humain ne vient pas de la génétique, mais du noyau animateur. Celui-ci est pour l’être humain son Noyau spirituel en lui-même impérissable, tandis que c’est seulement une âme animale pouvant être qualifiée d’«entéallique»[1].

Selon Sitchin, les versets bibliques hébreux racontant le façonnage d’Adam ne seraient que le condensé de Textes sumériens et akkadiens plus anciens inscrits sur des tablettes d’argile et dans lesquels le rôle des «Élohim» de la Genèse serait tenu par les Anunnakis: «Ceux qui sont venus du Ciel sur la Terre»

Les Anunnakis seraient arrivés, en provenance de la planète Nibiru, sur la Terre il y a environ 450.000 ans. Après avoir bouclé un cycle complet mais très elliptique autour du Soleil, Nibiru reviendrait dans notre région céleste tous les 3600 ans. Elle serait, du reste, maintenant, sur le point de revenir, d’une année à l’autre…

Il y a environ 300.000 ans, afin de disposer de «personnel» à leur convenance sur la Terre, les Anunnakis auraient procédé à une manipulation génétique sur le genre humain d’alors, en disant:

«L’être dont nous avons besoin existe déjà; tout ce que nous avons à faire est d’apposer notre marque sur lui».

De ce point de vue, les 223 gènes ne seraient rien d’autre que la “marque des Anunnakis”! Un choc!

Le but aurait été de génétiquement «moderniser» l’hominidé alors déjà existant et présent sur la Terre, scientifiquement appelé «homo antecessor» [«homme antérieur»], en ajoutant à son patrimoine génétique quelques-uns des gènes les plus avancés des Anunnakis eux-mêmes…

Lorsque l’on saura à quoi servent ces 223 gènes, l’on pourra savoir aussi quelles caractéristiques supplémentaires furent ajoutées au corps humain terrestre…

Les Anunnakis possédaient-ils le «génie» génétique nécessaire et suffisant pour cela (science dont nous les Terriens atteignons maintenant aussi le seuil)? Selon les textes existants, mais aussi selon les images sumériennes (voir plus haut) représentant des serpents entrelacés, il semblerait que la réponse soit oui.

Lorsque, après divers tâtonnements, le résultat final enfin escompté fut atteint, se prenant pour {un} «Dieu», le «créateur» du «nouvel homme», tel Michel-Ange devant son Moïse (visible à San Petro in Vincoli)[2], se serait écrié: «Mes mains l’ont fait!» et c’est ce qui est montré, plus haut, dans l’illustration de droite.

Ce serait donc ainsi que furent introduits dans le bagage génétique de l’être humain les 223 gènes supplémentaires. L’Adam et l’Ève d’alors (il y a 300.000 ans et non ceux d’il y a 3.000.000 d’années!) auraient donc été façonnés «à l’image des Anunnakis» et non à celle … d’une … bactérie!

Y aurait-il une autre possibilité?

Extrait du livre de Jean-Jacques Crèvecœur:

«En 1972, le professeur Mirko Beljanski a démontré que, contrairement à ce qu'affirmait son patron Jacques Monod (prix Nobel pour ses travaux sur l'ARN messager), l'information génétique peut remonter de l'ARN vers l'ADN, notamment grâce à une enzyme, la «Transcriptase Inverse Bactérienne».

Cela signifie que, chaque fois que nous modifions un comportement, chaque fois que nous faisons un nouvel apprentissage, chaque fois que nous vivons une nouvelle expérience, cette nouvelle "information" est acheminée par l'ARN messager vers l'ADN, qui va l'enregistrer et la mémoriser. Nous sommes donc loin de la vision d'un ADN immuable sur des périodes de milliers d'années! En fait, l'ADN enregistre en permanence la nouveauté.»

Et l'auteur de continuer en indiquant que les travaux du Docteur Hamer (fondateur de la «Médecine nouvelle») corroborent cette influence de l'esprit sur l'ADN:

«Autrement dit, si l’on nous faisait un test génétique avant que nous vivions un choc brutal, l’on aurait une image de notre carte génétique. Ensuite, si l’on refaisait un test génétique après le choc ayant déclenché notre maladie, l’on aurait une autre image, radicalement différente, avec un caractère génétique particulier. Cela signifie que notre patrimoine génétique est le reflet de notre attitude intérieure, de nos apprentissages, de nos comportements, de nos blocages, de nos conflits non résolus, de nos stress non évacués. Et pas le contraire. Le problème, c'est qu'en médecine, l’on fait toujours les tests après la déclaration de la maladie. Donc l’on croit qu'une caractéristique génétique est la cause d'une maladie, alors qu'elle n'en est que la conséquence.»


Conclusion

«Si j'hérite passivement du mode de pensée et de vie de mes parents et de mes familles, si je ne fais aucune nouvelle expérience par rapport à ceux qui m'ont transmis la vie, j'adopterai les mêmes comportements, qui engendreront les mêmes stress, qui, à leur tour, déclencheront les mêmes maladies. Et les généticiens de constater que nous avons les mêmes caractéristiques génétiques que nos ancêtres. Par contre, si nous modifions nos comportements, nos croyances, notre façon de gérer nos émotions, nous ne vivrons pas les mêmes stress et nous n'aurons pas les mêmes maladies. Et là, les généticiens ne penseront pas à vérifier que les caractéristiques génétiques ont été modifiées en une génération... Le gène n'est que le reflet de nos attitudes intérieures.» («Évoluer pour guérir» de Jean-Jacques Crèvecœur).

L’on pourrait assez facilement admettre un tel principe quant à l’individu; il n’en va, toutefois, pas de même lorsqu’il s’agit de toute une collectivité et, a fortiori, de l’humanité entière. Car si l’on admettait ce principe, il resterait à se demander si un tel «changement intérieur» suffirait, sans aucune manipulation génétique extérieure, à introduire simultanément 223 gènes supplémentaires d’un coup dans le patrimoine génétique de toute une population humaine? L’on peut raisonnablement en douter…, à moins que toute la population humaine terrestre ait simultanément vécu, il y a 300.000 ans, un stress majeur…
Reste, alors, à savoir lequel? Peut-être une manifestation extra-terrestre…


Conclusion:

Après ce tour d’horizon, les sincères croyants en la Bible voudront, sans doute, savoir si une telle interprétation de la Genèse ne désacraliserait pas complètement le «Texte Sacré» du «Livre des Livres»?

Même si Zachariah Sitchin pense, pour sa part, que l’histoire des Anunnakis serait suffisante pour expliquer le Texte biblique de la Genèse, la réponse est, toutefois : pas forcément.
En effet, que les êtres humains – Anunnakis ou autres - aient, à divers moments de l’histoire, eu la tentation de jouer à «devenir» eux-mêmes des «Dieux» et à agir comme tels, cela aussi le Texte de la Bible le donne à entendre:

«Alors le serpent dit à la femme: «Vous ne mourrez point; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des Dieux, connaissant le Bien et le Mal». (Genèse III, 4-5)

Cela ne date pas d’hier que l’être humain voudrait bien être «Dieu», et même – tant qu’à faire - Dieu Créateur! Et c’est bien là que réside la présomption suprême, qui finira par lui être fatale, car l’être humain ne sera jamais rien d’autre qu’une toute petite créature…

Qu’il y ait une apparente parenté entre, d’une part, la Genèse et, d’autre part, les Textes sumériens et akkadiens, cela est bien possible… Que, dans une certaine mesure, la Genèse en dérive, cela est peut-être aussi possible bien que pas certain. Mais ce qui importe ici c’est la toute première et originale Histoire de la Création, biblique ou autre, celle qui raconte la véritable et archétypique Création – purement spirituelle, celle-là – du tout premier être humain, du premier homme et de la première femme…

Et cette première Création-là, même en ce qui concerne l’incarnation sur Terre, est bien plus ancienne que 300.000 ans, et même, probablement, que 3.000.000 d’années, car, aujourd’hui, les vrais Sachants puisant leur Savoir à la Source, et non dans des copies terrestres grandement altérées, savent que la création gros-matérielle du premier être humain dans la Création Postérieure n’a pas eu lieu sur la Terre, mais encore ailleurs, car sur la Terre ne purent, finalement, venir que des âmes plus anciennes s’étant déjà préalablement incarnées ailleurs dans la matière grossière.

La Bible peut donc avoir plusieurs niveaux de lecture… Si certains veulent y reconnaître une intervention extra-terrestre dans la destinée de l’être humain terrestre survenue il y a 300.000 ans, pourquoi pas? Cela peut être juste, puisque, alors, des êtres humains non-terrestres, ont voulu re-jouer le même scénario initial, mais, cette fois, à leur sauce….
Cela n’empêche que, derrière ce niveau-là de lecture, il y en a un autre, plus profond, qui nous permet de considérer la Bible, d’abord comme un Livre Spirituel racontant, en premier lieu, même si c’est sous une forme poétique et mythique, l’histoire de la Création spirituelle de l’être humain.

Il faut juste, apprendre, là aussi comme en toutes choses, à discerner le Modèle et la caricature!

De même que la découverte de l’évolution biologique des espèces (il ne s’agit pas ici de darwinisme mais de la grande Évolution naturelle suivant des propres Lois) ne remet pas fondamentalement en cause la Bible, comme l’ont cru, à tort, les Biblistes créationnistes, la découverte d’une ou plusieurs possibles interventions extra-terrestres dans l’évolution humaine terrestre ne saurait, non plus, atteindre l’essence de la Foi en la Création de l’être humain par Dieu, telle que la raconte la Bible ou d’autres Textes Sacrés de l’humanité.

Cette même Bible qui, à un moment donné, au début du Chapitre 6 de la Genèse, affirme:

«Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la Terre, et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent.»  (Genèse VI, 1-2).

Qui sont donc ces «fils de Dieu» (parfois aussi traduit par «fils des dieux»)?

Et la Genèse de poursuivre:

«Les géants étaient sur la Terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros, ces hommes fameux des temps anciens». (Genèse VI, 4).

Nous apprenons donc ici que le croisement des «fils des dieux» - donc de provenance extra-terrestre- et des «filles des hommes» - donc des Terriennes - a donné naissance à des «géants» - donc des êtres humains de taille supérieure à l’«homo antecessor» initial - aussi appelés «héros», restés célèbres, depuis lors, de par leur force et leurs exceptionnelles facultés…

Peut-être sont-ce ces «héros» qui reçurent, déjà, tout ou partie des 223 gènes supplémentaires, destinés à en faire des surhommes???

Hyppolite Clavier


Liens:

L’article complet de Jean Sider est notamment lisible en cliquant ici.

Code de la Bible:

http://etranges.revelations.free.fr/Grandes%20enigmes/bible/le_code_de_la_bible.htm

http://www.livresplus.com/data/cr0006.html

http://www.bibliorama.com/bible/bible_code.htm

http://www.librairie-en-ligne.net/article.php3?id_article=9

ADN:

http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/Siderextraterrestres.html

http://www.andromedalliance.com/unknown_dna.htm

http://www.sitchin.com/adam.htm

http://www.ovni.ch/guest/sider.htm

http://exobio.chez.tiscali.fr/theories.htm

http://owen.monblogue.com/commentaires/owen/10340


Dogons:

http://dogons.free.fr/

http://www.afrik.com/article4491.html

http://www.unesco.org/courier/2000_07/fr/dici.htm

http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/dogons.html

http://mysteres.du.monde.online.fr/mysteres/index.php?op=newindex&catid=23


Autres sources:

Sur les Dogons, dans la revue disparue «Nostra»:

- Article de François Brun intitulé "Le fabuleux secret des Dogons" n° 205 du 10 Mars 1976.

- Article de Lucien Barnier intitulé "La Science astronomique des Dogons: un formidable mystère" n° 225 du 26 Juillet 1976.


Notes:

[1] «Entéallique»: Genre de la Création distinct du Genre spirituel. L’une des différences principales est que le libre vouloir a été accordé au Spirituel, alors que l’Entéallique ne peut que suivre la Loi de son genre… «Entéallique» (du latin «ens, entis»: «étant») veut dire: «ayant reçu un être/étant».

[2] Église «St Pierre aux liens», à Rome, où se trouve la célèbre statue de Michel Ange représentant «Moïse» (Tombeau du pape Jules II).